GRAVURE GRAND CHEF ATAI
Le grand chef Ataï promoteur de l'insurrection Canaque
Cette gravure est parue dans le journal "le Voleur" n° 1109 le 4 octobre 1878.
Cette gravure anonyme est parue dans plusieurs magazines illustrés à la fin de 1878. On ne sait pas sur quelle représentation du chef Ataï s'est basé le graveur pour faire cette image ni si elle lui ressemblait vraiment.
Cette gravure est parue dans le journal "le Voleur" n° 1109 le 4 octobre 1878.
Cette gravure anonyme est parue dans plusieurs magazines illustrés à la fin de 1878. On ne sait pas sur quelle représentation du chef Ataï s'est basé le graveur pour faire cette image ni si elle lui ressemblait vraiment.
Ataï fut tué le 1er septembre 1878 par un auxiliaire Kanak. On lui coupa la tête pour la rapporter en France.
Son image a été abondamment reproduite dans les journaux calédoniens et parisiens du 19ème siècle et apparaît aujourd'hui sur bien des tee-shirts et peintures murales. Mais il est impossible de savoir s'il s'agit bien de son portrait, car on ne connaît aucune photographie de lui. Seul son masque mortuaire, empreinte prise sur sa tête coupée, nous est parvenu. C'est la représentation d'un visage aux yeux fermés, figé, dans une sérénité funèbre.
Le Voleur est une revue littéraire française, sous-titrée Journal littéraire de Paris ou encore Le Voleur : gazette des journaux français et étrangers fondée en 1828 par Charles Lautour-Mézeray avec Émile de Girardin. La publication paraît tous les cinq jours et emprunte à des écrivains comme Frédéric Soulié, Samuel-Henri Berthoud, Honoré de Balzac, etc. Le journal est aussi composé d'articles repris d'autres journaux. Charles Lautour-Mézeray participe également à la rédaction de la revue et il apporte son soutien financier à Emile de Girardin pour une autre entreprise de presse : La Silhouette, 1829 à laquelle il collabore aussi comme rédacteur.
Le Voleur est une revue littéraire française, sous-titrée Journal littéraire de Paris ou encore Le Voleur : gazette des journaux français et étrangers fondée en 1828 par Charles Lautour-Mézeray avec Émile de Girardin. La publication paraît tous les cinq jours et emprunte à des écrivains comme Frédéric Soulié, Samuel-Henri Berthoud, Honoré de Balzac, etc. Le journal est aussi composé d'articles repris d'autres journaux. Charles Lautour-Mézeray participe également à la rédaction de la revue et il apporte son soutien financier à Emile de Girardin pour une autre entreprise de presse : La Silhouette, 1829 à laquelle il collabore aussi comme rédacteur.