VOITURE DE COURSE DES EQUIPES
Photographie de la voiture de l'équiipe Europcar prise le samedi 19 juillet 2014 - 14ème étape de 177 km entre Grenoble et Risoul (France).
Tour de France 2014 : les 22 équipes engagées et leurs objectifs
Le Tour de France est loin de se résumer à un duel au sommet (Froome-Contador). Chaque formation a ses objectifs.
AG2R La Mondiale (groupe français de protection sociale et patrimoniale) : en pleine réussite, l'équipe française a de l'appétit. Avec Romain Bardet et Péraud (pour le général), mais aussi Riblon.
Astana (conglomérat de sociétés kazakhes réunies autour de la capitale du pays) : Nibali entend jouer le trouble-fête. Le groupe kazakh est tout dévoué à la cause du Sicilien.
Belkin (fabricant américain de matériel informatique) : le futur retrait du sponsor tombe mal pour la formation néerlandaise. Mollema est son chef de file.
BMC (constructeur de cycles suisse) : Van Garderen, malheureux l'an passé, garde la confiance de l'équipe pour le classement général.
Bretagne-Séché (région française et entreprise spécialisée dans la gestion des déchets) : le "Petit Poucet" du peloton n'a rien à perdre. Idéal pour l'animation de la course.
Cannondale (constructeur de cycles américain) : Sagan vise des succès d'étape, avec le soutien de Viviani, et un troisième maillot vert.
Cofidis (société française de crédit en ligne) : Navarro pour une place honorable, Taaramae et J. Simon pour un exploit ponctuel.
Europcar (entreprise française de location de véhicules) : Rolland a été mis en appétit par son résultat du Giro (4e). Voeckler, imprévisible, est insubmersible.
FDJ.fr (site internet de l'opérateur français des jeux) : Démare, champion de France néophyte, est attendu dans les sprints. Pinot, l'autre grand espoir du groupe, dans la montagne.
Garmin (société américaine de systèmes de navigation) : Talansky, vainqueur du Dauphiné, est investi des responsabilités. Slagter, un vrai puncheur, débute.
Giant (constructeur de cycles taïwanais) : le sprint est devenu la grande spécialité du groupe néerlandais. Avec Kittel et, pour les parcours plus sélectifs, Degenkolb.
IAM (fonds financier suisse) : Chavanel, à la grande expérience du Tour, pour la première partie. Frank, quatre ans après ses débuts, pour la suite en montagne.
Katusha (structure soutenue par l'Etat et des sociétés russes) : J. Rodriguez, à court de compétition, vise la dernière semaine. Alexander Kristoff s'intéresse aux étapes de plaine.
Lampre (fabricant italien d'acier laminé) : Costa, champion du monde en titre, a construit sa saison sur le Tour. Horner, lauréat inattendu de la dernière Vuelta, est aussi présent.
Lotto (loterie belge) : la formation belge compte sur son duo habituel: Van den Broeck pour le classement général, Greipel pour les arrivées au sprint.
Movistar (opérateur espagnol de téléphonie) : Valverde rêve du podium des Champs-Elysées. L'équipe espagnole lui est acquise.
NetApp (entreprise américaine de stockage et gestion de données) : dans une équipe de néophytes, König entend réussir ses débuts. Machado est lui aussi concerné.
Omega Pharma (entreprise belge de produits pharmaceutiques) : l'équipe belge joue sur plusieurs tableaux, les sprints (Cavendish), le contre-la-montre (T. Martin), le général (Kwiatkowski).
Orica (entreprise australienne d'explosifs et produits chimiques) : le groupe australien, tourné vers la plaine, a remodelé son effectif. Gerrans est toujours là, Albasini aussi. Matthews découvre le Tour.
Sky (opérateur britannique de télévision par satellite) : tout pour Froome, candidat à une deuxième victoire. La formation britannique, expérimentée voire vieillissante, joue gros.
Tinkoff (opérateur britannique de télévision par satellite) : la formation russe est au service exclusif de Contador qui sera protégé par Bennati sur le plat, Majka, Roche et Rogers en montagne.
Trek (constructeur de cycles américain) : Cancellara, l'homme fort des pavés, et les frères Schleck, en appel, connaissent tout du Tour.
Le Tour de France est loin de se résumer à un duel au sommet (Froome-Contador). Chaque formation a ses objectifs.
AG2R La Mondiale (groupe français de protection sociale et patrimoniale) : en pleine réussite, l'équipe française a de l'appétit. Avec Romain Bardet et Péraud (pour le général), mais aussi Riblon.
Astana (conglomérat de sociétés kazakhes réunies autour de la capitale du pays) : Nibali entend jouer le trouble-fête. Le groupe kazakh est tout dévoué à la cause du Sicilien.
Belkin (fabricant américain de matériel informatique) : le futur retrait du sponsor tombe mal pour la formation néerlandaise. Mollema est son chef de file.
BMC (constructeur de cycles suisse) : Van Garderen, malheureux l'an passé, garde la confiance de l'équipe pour le classement général.
Bretagne-Séché (région française et entreprise spécialisée dans la gestion des déchets) : le "Petit Poucet" du peloton n'a rien à perdre. Idéal pour l'animation de la course.
Cannondale (constructeur de cycles américain) : Sagan vise des succès d'étape, avec le soutien de Viviani, et un troisième maillot vert.
Cofidis (société française de crédit en ligne) : Navarro pour une place honorable, Taaramae et J. Simon pour un exploit ponctuel.
Europcar (entreprise française de location de véhicules) : Rolland a été mis en appétit par son résultat du Giro (4e). Voeckler, imprévisible, est insubmersible.
FDJ.fr (site internet de l'opérateur français des jeux) : Démare, champion de France néophyte, est attendu dans les sprints. Pinot, l'autre grand espoir du groupe, dans la montagne.
Garmin (société américaine de systèmes de navigation) : Talansky, vainqueur du Dauphiné, est investi des responsabilités. Slagter, un vrai puncheur, débute.
Giant (constructeur de cycles taïwanais) : le sprint est devenu la grande spécialité du groupe néerlandais. Avec Kittel et, pour les parcours plus sélectifs, Degenkolb.
IAM (fonds financier suisse) : Chavanel, à la grande expérience du Tour, pour la première partie. Frank, quatre ans après ses débuts, pour la suite en montagne.
Katusha (structure soutenue par l'Etat et des sociétés russes) : J. Rodriguez, à court de compétition, vise la dernière semaine. Alexander Kristoff s'intéresse aux étapes de plaine.
Lampre (fabricant italien d'acier laminé) : Costa, champion du monde en titre, a construit sa saison sur le Tour. Horner, lauréat inattendu de la dernière Vuelta, est aussi présent.
Lotto (loterie belge) : la formation belge compte sur son duo habituel: Van den Broeck pour le classement général, Greipel pour les arrivées au sprint.
Movistar (opérateur espagnol de téléphonie) : Valverde rêve du podium des Champs-Elysées. L'équipe espagnole lui est acquise.
NetApp (entreprise américaine de stockage et gestion de données) : dans une équipe de néophytes, König entend réussir ses débuts. Machado est lui aussi concerné.
Omega Pharma (entreprise belge de produits pharmaceutiques) : l'équipe belge joue sur plusieurs tableaux, les sprints (Cavendish), le contre-la-montre (T. Martin), le général (Kwiatkowski).
Orica (entreprise australienne d'explosifs et produits chimiques) : le groupe australien, tourné vers la plaine, a remodelé son effectif. Gerrans est toujours là, Albasini aussi. Matthews découvre le Tour.
Sky (opérateur britannique de télévision par satellite) : tout pour Froome, candidat à une deuxième victoire. La formation britannique, expérimentée voire vieillissante, joue gros.
Tinkoff (opérateur britannique de télévision par satellite) : la formation russe est au service exclusif de Contador qui sera protégé par Bennati sur le plat, Majka, Roche et Rogers en montagne.
Trek (constructeur de cycles américain) : Cancellara, l'homme fort des pavés, et les frères Schleck, en appel, connaissent tout du Tour.