VOITURE BALAI
Photographie de la voiture balai prise le samedi 19 juillet 2014 - 14ème étape de 177 km entre Grenoble et Risoul (France).
Cauchemar des coureurs, cette camionnette utilisée depuis 1910 sur la Grande Boucle est chargée de fermer la course et de ramasser les athlètes qui ont abandonné. Lors des retransmissions du Tour de France sur votre télévision, vous avez sans doute déjà vu à l'écran une camionnette avec un autocollant portant la mention "voiture-balai". À l'ère de l'aspirateur, le traditionnel balai en paille qui fut longtemps accroché à l'arrière a désormais disparu au profit d'un sticker, au grand dam des spectateurs qui appréciaient ce folklore.
Depuis 1910, ce véhicule accompagne la caravane de la Grande Boucle et se charge de fermer la course. Aujourd'hui, la voiture-balai a une mission bien précise, celle de ramasser les coureurs "en miettes" qui décident d'abandonner au cours de l'étape. L'athlète qui jette l'éponge s'arrête au bord de la route, remet obligatoirement son dossard à un commissaire de course qui accompagne le conducteur de la voiture-balai. Son vélo est ensuite rangé et le coureur s'assoit dans le minibus de sept places chargé de le ramener à l'arrivée.
Mais la voiture-balai n'a pas toujours eu cette vocation. Au début du XXe siècle, elle veillait à ce que certains coureurs en difficulté ne tentent pas d'utiliser d'autres moyens de locomotion pour rejoindre la ligne d'arrivée.
Depuis 1910, ce véhicule accompagne la caravane de la Grande Boucle et se charge de fermer la course. Aujourd'hui, la voiture-balai a une mission bien précise, celle de ramasser les coureurs "en miettes" qui décident d'abandonner au cours de l'étape. L'athlète qui jette l'éponge s'arrête au bord de la route, remet obligatoirement son dossard à un commissaire de course qui accompagne le conducteur de la voiture-balai. Son vélo est ensuite rangé et le coureur s'assoit dans le minibus de sept places chargé de le ramener à l'arrivée.
Mais la voiture-balai n'a pas toujours eu cette vocation. Au début du XXe siècle, elle veillait à ce que certains coureurs en difficulté ne tentent pas d'utiliser d'autres moyens de locomotion pour rejoindre la ligne d'arrivée.