BULLES D'AIR
Les mélanges gazeux respirables pour la plongée sous-marine sont :
NITROX
En plongée sous-marine, le nitrox désigne un mélange d'air suroxygéné, c'est-à-dire dont le pourcentage d'oxygène dépasse 21 %. Le terme nitrox est la contraction des noms anglais nitrogen et oxygen désignant respectivement le diazote et le dioxygène (usuellement désignés par le nom de l'atome : azote et oxygène). Un nitrox est défini par la teneur en oxygène du mélange ; l'air que l'on respire à la surface contient 21 % d'oxygène : il peut être qualifié de nitrox 21. Les nitrox principalement utilisés par les plongeurs sont les nitrox 32 et 36, parfois appelés Nitrox I et II. Leur prédominance est due à des raisons historiques. Le premier grand utilisateur du nitrox fut la NOAA, qui pour ses besoins particuliers utilisa ces 2 compositions, créa des tables de décompression idoines et édita un manuel les recommandant. Cependant, ils peuvent aller jusqu'à 100 % (auquel cas il s'agit d'oxygène pur). On désigne également le nitrox par les termes EAN et EANx pour l'acronyme Enriched Air Nitrox.
TRIOX ou HELITROX
Le triox, également appellé hélitrox, est un mélange de trois gaz : Oxygène, Azote et Hélium. Il s’agit donc d’un trimix, mais sa particularité, plus que sa composition, réside dans les proportions de ces gaz et à l’usage qui en est fait (La proportion d'oxygène est supérieur à 21%). Le triox est un mélange de décompression également utilisé pour débuter la plongée (travel-mix ou mélange intermédiaire). Il a été initialement développé outre atlantique par les adeptes de la consommation d’hélium en décompression.
TRIMIX
Le trimix, contraction du mot «tri» — trois — et « mix » — mélange, est un mélange ternaire, c'est-à-dire un mélange gazeux constitué de trois gaz : le dioxygène (O2), l'hélium (He) et le diazote (N2) "parfois appelé simplement «azote» de manière incorrecte est une molécule diatomique composée de deux atomes d'azote". Il est utilisé à la place de l'air dans le cadre de la plongée profonde (typiquement au-delà de 40 m).
HELIAIR
Mélange respiratoire de plongée, aussi appelé communément «trimix du pauvre ou la plongée à la giclette», est un trimix fabriqué à base d’hélium et d’air. Contrairement au trimix on n'a pas ajouté d'oxygène qui dans ce mélange n'est pas modulable. En effet, l'Héliair est fabriqué par remplissage d'hélium et complément d'air. Il y a deux raisons à l'utilisation de ce mélange qui sont plutôt d'ordre économique et pratique. En effet, la quantité d'oxygène étant peu élevée comparée à un nitrox ou un trimix, ce mélange ne nécessite pas de matériel spécifique dégraissé. De plus, il est plus facile à réaliser. Ce mélange est peu utilisé car les plongeurs ayant accès à l'hélium ont souvent accès à du matériel dégraissé et à de l'oxygène.
HYDROX
L'hydrox est un mélange gazeux utilisé en plongée sous-marine très profonde. Il permet de descendre à plusieurs centaines de mètres. L’hydrogène est le plus léger des gaz (2 fois plus léger que l'hélium) mais possède tout de même un pouvoir narcotique. Ce gaz permettrait de lutter notamment contre le syndrome nerveux des hautes pressions, accident fréquent lors de plongées très profondes. L’hydrogène est un gaz potentiellement explosif en présence d’oxygène. La manipulation de ce mélange, ainsi que les contrôles qui en découlent posent des problèmes techniques très importants qui limitent pour l’instant son application aux seuls professionnels.
HELIOX
L'héliox est un mélange gazeux d'hélium et d'oxygène utilisé en médecine ainsi que pour la plongée sous-marine en eaux profondes, par exemple off-shore.
HYDRELIOX
L'Hydreliox est un mélange respiratoire utilisé en plongée sous-marine profonde. Il se compose d'hélium, d'oxygène et d'une petite part d'hydrogène. Ce mélange est utilisé principalement pour les plongées de recherches et d'études scientifiques au-delà de 130 m. Au-delà de cette profondeur, la respiration de l'heliox, mélange habituellement utilisé, provoque l'apparition du syndrome nerveux des hautes pressions (SNHP). L'hydreliox a été testé à des profondeurs dépassant les 500 m par la Compagnie maritime d'expertises (COMEX), qui est une entreprise spécialisée dans les travaux sous-marins à grande profondeur. C'est lors de ce type de plongées d'essai que l'on s'est rendu compte de l'apparition de symptômes d'une narcose à l'hydrogène à partir de 300 m.
NITROX
En plongée sous-marine, le nitrox désigne un mélange d'air suroxygéné, c'est-à-dire dont le pourcentage d'oxygène dépasse 21 %. Le terme nitrox est la contraction des noms anglais nitrogen et oxygen désignant respectivement le diazote et le dioxygène (usuellement désignés par le nom de l'atome : azote et oxygène). Un nitrox est défini par la teneur en oxygène du mélange ; l'air que l'on respire à la surface contient 21 % d'oxygène : il peut être qualifié de nitrox 21. Les nitrox principalement utilisés par les plongeurs sont les nitrox 32 et 36, parfois appelés Nitrox I et II. Leur prédominance est due à des raisons historiques. Le premier grand utilisateur du nitrox fut la NOAA, qui pour ses besoins particuliers utilisa ces 2 compositions, créa des tables de décompression idoines et édita un manuel les recommandant. Cependant, ils peuvent aller jusqu'à 100 % (auquel cas il s'agit d'oxygène pur). On désigne également le nitrox par les termes EAN et EANx pour l'acronyme Enriched Air Nitrox.
TRIOX ou HELITROX
Le triox, également appellé hélitrox, est un mélange de trois gaz : Oxygène, Azote et Hélium. Il s’agit donc d’un trimix, mais sa particularité, plus que sa composition, réside dans les proportions de ces gaz et à l’usage qui en est fait (La proportion d'oxygène est supérieur à 21%). Le triox est un mélange de décompression également utilisé pour débuter la plongée (travel-mix ou mélange intermédiaire). Il a été initialement développé outre atlantique par les adeptes de la consommation d’hélium en décompression.
TRIMIX
Le trimix, contraction du mot «tri» — trois — et « mix » — mélange, est un mélange ternaire, c'est-à-dire un mélange gazeux constitué de trois gaz : le dioxygène (O2), l'hélium (He) et le diazote (N2) "parfois appelé simplement «azote» de manière incorrecte est une molécule diatomique composée de deux atomes d'azote". Il est utilisé à la place de l'air dans le cadre de la plongée profonde (typiquement au-delà de 40 m).
HELIAIR
Mélange respiratoire de plongée, aussi appelé communément «trimix du pauvre ou la plongée à la giclette», est un trimix fabriqué à base d’hélium et d’air. Contrairement au trimix on n'a pas ajouté d'oxygène qui dans ce mélange n'est pas modulable. En effet, l'Héliair est fabriqué par remplissage d'hélium et complément d'air. Il y a deux raisons à l'utilisation de ce mélange qui sont plutôt d'ordre économique et pratique. En effet, la quantité d'oxygène étant peu élevée comparée à un nitrox ou un trimix, ce mélange ne nécessite pas de matériel spécifique dégraissé. De plus, il est plus facile à réaliser. Ce mélange est peu utilisé car les plongeurs ayant accès à l'hélium ont souvent accès à du matériel dégraissé et à de l'oxygène.
HYDROX
L'hydrox est un mélange gazeux utilisé en plongée sous-marine très profonde. Il permet de descendre à plusieurs centaines de mètres. L’hydrogène est le plus léger des gaz (2 fois plus léger que l'hélium) mais possède tout de même un pouvoir narcotique. Ce gaz permettrait de lutter notamment contre le syndrome nerveux des hautes pressions, accident fréquent lors de plongées très profondes. L’hydrogène est un gaz potentiellement explosif en présence d’oxygène. La manipulation de ce mélange, ainsi que les contrôles qui en découlent posent des problèmes techniques très importants qui limitent pour l’instant son application aux seuls professionnels.
HELIOX
L'héliox est un mélange gazeux d'hélium et d'oxygène utilisé en médecine ainsi que pour la plongée sous-marine en eaux profondes, par exemple off-shore.
HYDRELIOX
L'Hydreliox est un mélange respiratoire utilisé en plongée sous-marine profonde. Il se compose d'hélium, d'oxygène et d'une petite part d'hydrogène. Ce mélange est utilisé principalement pour les plongées de recherches et d'études scientifiques au-delà de 130 m. Au-delà de cette profondeur, la respiration de l'heliox, mélange habituellement utilisé, provoque l'apparition du syndrome nerveux des hautes pressions (SNHP). L'hydreliox a été testé à des profondeurs dépassant les 500 m par la Compagnie maritime d'expertises (COMEX), qui est une entreprise spécialisée dans les travaux sous-marins à grande profondeur. C'est lors de ce type de plongées d'essai que l'on s'est rendu compte de l'apparition de symptômes d'une narcose à l'hydrogène à partir de 300 m.