ECOLIERES EN UNIFORME
Les écoliers et les écolières portent souvent l’uniforme au Japon avec des jupes courtes de préférence. Leur “panoplie” comporte d’autres choses comme des vêtements et un sac de sport par exemple. Les plus jeunes ont aussi le droit à un cartable assorti et souvent un chapeau. Parfois ils ont même une couleur de parapluie imposée.
L'uniforme scolaire Japonnais
Il existe au Japon des “High School Girl Viewing Clubs”, des établissements où l’on paye pour pouvoir voir ce qui se cache sous la jupe des écolières japonaises.
Le concept des High School Girl Viewing Clubs est très simple. Des jeunes et jolies filles en uniforme de lycéenne sont regroupées dans une grande pièce entourée de glaces sans tain. Les filles ne peuvent pas voir ce qui se passe en dehors de la pièce, mais de l’autre côté des miroirs les observateurs qui ont payé ne loupent pas une miette de ce qui se passe à l’intérieur.
Chaque fille porte sur elle un badge avec un numéro. Lorsque l’un des clients appelle un numéro (et paye un supplément), la fille correspondante est priée de venir s’asseoir devant le miroir de la personne. Seul dans une petite cabine, le client peut alors observer à loisir la jeune fille qui prend des poses sexy et expose ses sous-vêtements. Les photos par contre sont interdites et on doit même déposer son portable à l’entrée.
L’entrée dans ce genre de club coûte ¥3 000 (28€), ce à quoi il faut rajouter ¥2 000 à chaque fois que l’on appelle une écolière. La fille, elle, est payée ¥1 000 de l’heure, plus ¥1 000 à chaque déplacement. C’est plutôt bien payé pour rester assise à jouer avec son portable ou à se maquiller, mais bien sûr ce genre d’établissement frôle de très près l’illégalité, voire la côtoie. Apparemment la police a déjà fermé des clubs de ce genre et arrêté des propriétaires d’établissement qui violent les lois sur le travail des mineurs au Japon, mais ça n’a pas l’air d’empêcher le développement de ces endroits.
Alors évidemment toutes les filles ne sont pas des lycéennes, n’importe quelle fille de plus de 18 ans peut enfiler un uniforme et aura l’air d’en avoir 16, mais de vraies lycéennes sont apparemment embauchées dans la majorité des cas.
L'uniforme scolaire Japonnais
Il existe au Japon des “High School Girl Viewing Clubs”, des établissements où l’on paye pour pouvoir voir ce qui se cache sous la jupe des écolières japonaises.
Le concept des High School Girl Viewing Clubs est très simple. Des jeunes et jolies filles en uniforme de lycéenne sont regroupées dans une grande pièce entourée de glaces sans tain. Les filles ne peuvent pas voir ce qui se passe en dehors de la pièce, mais de l’autre côté des miroirs les observateurs qui ont payé ne loupent pas une miette de ce qui se passe à l’intérieur.
Chaque fille porte sur elle un badge avec un numéro. Lorsque l’un des clients appelle un numéro (et paye un supplément), la fille correspondante est priée de venir s’asseoir devant le miroir de la personne. Seul dans une petite cabine, le client peut alors observer à loisir la jeune fille qui prend des poses sexy et expose ses sous-vêtements. Les photos par contre sont interdites et on doit même déposer son portable à l’entrée.
L’entrée dans ce genre de club coûte ¥3 000 (28€), ce à quoi il faut rajouter ¥2 000 à chaque fois que l’on appelle une écolière. La fille, elle, est payée ¥1 000 de l’heure, plus ¥1 000 à chaque déplacement. C’est plutôt bien payé pour rester assise à jouer avec son portable ou à se maquiller, mais bien sûr ce genre d’établissement frôle de très près l’illégalité, voire la côtoie. Apparemment la police a déjà fermé des clubs de ce genre et arrêté des propriétaires d’établissement qui violent les lois sur le travail des mineurs au Japon, mais ça n’a pas l’air d’empêcher le développement de ces endroits.
Alors évidemment toutes les filles ne sont pas des lycéennes, n’importe quelle fille de plus de 18 ans peut enfiler un uniforme et aura l’air d’en avoir 16, mais de vraies lycéennes sont apparemment embauchées dans la majorité des cas.