CARPE KOI TOKYO
La carpe koi est un poisson ornemental asiatique (Cyprinus carpio carpio), élevé en Chine, en Corée, au Japon et au Vietnam. Vivant dans les rizières, ce poisson est le fruit de croisements entre individus de l'espèce appelée Carpe commune, Cyprinus carpio.
Le terme japonais koï (鯉, koi, signifie littéralement "Carpe") – carpe koï signifierait donc "carpe carpe". A l'origine le nom chinois de cette carpe est jinli (chinois simplifié : 锦鲤 ; chinois traditionnel : 錦鯉 ; pinyin : jǐn lǐ ; littéralement : "carpe de brocart"), ce qui a donné en "nishikigoi" (錦鯉, toujours littéralement "Carpe de brocart"). Ce poisson étant la carpe la plus répandue dans les jardins en Extrême-Orient, il est généralement appelé koi (carpe en japonais), d'où la mauvaise appellation. Cette carpe est définie comme étant de la sous-espèce Cyprinus carpio carpio. La carpe koï arbore diverses couleurs : rouge, blanc, jaune, noir, etc. Certaines variétés colorées sont très prisées par les collectionneurs et peuvent atteindre des prix records alors qu'elles ne sont encore âgées que d'environ deux ans. Essentiellement végétarien, ce poisson n'a donc rien d'un prédateur malgré sa grande taille. C'est un symbole d'amour et de virilité que l'on retrouve couramment dans les cultures du monde chinois et sa sphère d'influence (Chine, Corée, Japon, Vietnam).
L'histoire de la carpe koï
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, la carpe koï n'est pas originaire du Japon. La plus ancienne forme du nishikigoi, appelé magoi, était noire et vivait dans les mers Noire, Caspienne, d'Aral et d'Azov. C'est en Chine qu'apparaissent les premiers écrits les concernant au environ de 500 av. J.-C.. Les premières techniques d'élevage de la carpe koï furent également inventées en Chine. Les variations chromatiques se limitaient alors au rouge et au gris car on l'élevait principalement pour la saveur de sa chair. La carpe koï ne fut introduite au Japon que lors des invasions chinoises. C'est au XVIIe siècle, dans la région du Niigata, que l'on introduisit la carpe dans les rizières afin d'agrémenter le régime à base de riz des paysans. Les premières mutations chromatiques dignes de ce nom apparurent entre 1804 et 1830 et concernèrent les carpes rouge, blanche et jaune. Entre 1830 et 1850, les kohaku virent le jour à la suite d'un croisement entre une carpe blanche et une carpe rouge. Et dès la fin du XIXe siècle, la plupart des variétés que nous connaissons maintenant s'étaient établies. L'élevage des carpes koï ne connut cependant qu'un succès qui ne dépassa pas les frontières du Niigata. Mais au sein de cette région, certains poissons valurent bientôt leur pesant d'or et l'élevage fut temporairement interdit par les autorités locales qui considéraient cela comme de la spéculation. Ce n'est qu'à la suite d'une exposition à Tokyo en 1914 que les koïs sortirent de leur isolement, le maire d'un village du Niigata y ayant envoyé 27 exemplaires afin de sensibiliser le public aux conditions de travail pénible dans la région. Huit de ces carpes furent offertes au fils de l'empereur Taisho. Ce fut cet évènement qui permit la propagation de la carpe koï dans le monde entier. Le marché de la carpe koï s'est considérablement développé à l'issue de la Seconde Guerre mondiale grâce au transport aérien et la création d'élevages à l'extérieur du Japon. Maintenant, de nombreux pays assurent la production de carpes ornementales, mais la qualité des koïs élevées au Japon surpasse néanmoins toute concurrence.
Marché et collectionneurs
Les carpes koï peuvent être très onéreuses, suivant leur classe : A, B et C ; la classe A étant la plus chère. En effet, on compte des individus dont le prix peut aller jusqu'à 200 000 dollars (180 000 euros) pour les plus rares au début des années 2000. Le record absolu est une vente réalisée en 2008 pour un montant de 347 000 euros. Les carpes koï de classe A proviennent uniquement d'élevages japonais et sont pour cela considérées comme étant les meilleures. Les carpes koï nées de parents japonais, mais qui n'ont pas été élevées au Japon forment la classe B. En revanche, les carpes de grade C n'ont pas de liens de parenté avec les koïs et ne devraient pas être considérées comme telles. La plus prisée des carpes koï est le tancho. Cette carpe est blanche avec une tache rouge unique sur la tête. Son nom provient de la grue du Japon, qui arbore également ce motif. Elle est particulièrement appréciée chez les Japonais puisque son motif rappelle le drapeau du pays.
La carpe de brocart dans la culture
Les carpes de brocart ont une place importante dans la culture japonaise, où elles sont un symbole d'amour et de virilité[réf. souhaitée]. Leur succès s'est étendu partout où ces poissons ont été exportés, elles apportent beaucoup de charme et de dynamisme à un bassin de jardin. Les carpes koï étant très calmes, elles apportent beauté et sérénité dans un bassin. Au Japon, ces carpes servaient à agrémenter les jardins. Elles donnaient une touche de couleur, de vie et de sérénité dans ce lieu de repos. La tradition voulait que l'invité prestigieux choisisse en entrant le spécimen qu'il allait déguster pendant le repas. Plus précisément, elles représentent la force et la persévérance, du fait qu'elles remontent à contre-courant les rivières et cascades du Japon et d'Asie. Selon la légende chinoise, les carpes du fleuve Jaune, après avoir remonté le fleuve, s'envoleraient vers le ciel en se transformant en dragons. Cette légende serait à l'origine au Japon des koi-nobori (鯉幟, lit. "bannière carpe"), des manches à air en forme de carpes koï utilisées lors de la journée des enfants, le 5 mai, héritée de la fête chinoise du duanwu, du 5e jour du 5e mois du calendrier lunaire), ayant jadis pour objet d'encourager les garçons à être forts et valeureux. On raconte que le philosophe Confucius reçut une carpe koï de la part du roi et aurait nommé son fils d'après ce poisson, car il était le seul à pouvoir remonter les chutes du fleuve Jaune. En Chine, elles agrémentent les bassins des temples bouddhistes et taoïstes, généralement au côté de tortues carnivores, créant ainsi un équilibre naturel, ou des parcs et jardins. De la même façon, en Europe, on place souvent des carpes de couleur noire dans les bassins des châteaux.
Le terme japonais koï (鯉, koi, signifie littéralement "Carpe") – carpe koï signifierait donc "carpe carpe". A l'origine le nom chinois de cette carpe est jinli (chinois simplifié : 锦鲤 ; chinois traditionnel : 錦鯉 ; pinyin : jǐn lǐ ; littéralement : "carpe de brocart"), ce qui a donné en "nishikigoi" (錦鯉, toujours littéralement "Carpe de brocart"). Ce poisson étant la carpe la plus répandue dans les jardins en Extrême-Orient, il est généralement appelé koi (carpe en japonais), d'où la mauvaise appellation. Cette carpe est définie comme étant de la sous-espèce Cyprinus carpio carpio. La carpe koï arbore diverses couleurs : rouge, blanc, jaune, noir, etc. Certaines variétés colorées sont très prisées par les collectionneurs et peuvent atteindre des prix records alors qu'elles ne sont encore âgées que d'environ deux ans. Essentiellement végétarien, ce poisson n'a donc rien d'un prédateur malgré sa grande taille. C'est un symbole d'amour et de virilité que l'on retrouve couramment dans les cultures du monde chinois et sa sphère d'influence (Chine, Corée, Japon, Vietnam).
L'histoire de la carpe koï
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, la carpe koï n'est pas originaire du Japon. La plus ancienne forme du nishikigoi, appelé magoi, était noire et vivait dans les mers Noire, Caspienne, d'Aral et d'Azov. C'est en Chine qu'apparaissent les premiers écrits les concernant au environ de 500 av. J.-C.. Les premières techniques d'élevage de la carpe koï furent également inventées en Chine. Les variations chromatiques se limitaient alors au rouge et au gris car on l'élevait principalement pour la saveur de sa chair. La carpe koï ne fut introduite au Japon que lors des invasions chinoises. C'est au XVIIe siècle, dans la région du Niigata, que l'on introduisit la carpe dans les rizières afin d'agrémenter le régime à base de riz des paysans. Les premières mutations chromatiques dignes de ce nom apparurent entre 1804 et 1830 et concernèrent les carpes rouge, blanche et jaune. Entre 1830 et 1850, les kohaku virent le jour à la suite d'un croisement entre une carpe blanche et une carpe rouge. Et dès la fin du XIXe siècle, la plupart des variétés que nous connaissons maintenant s'étaient établies. L'élevage des carpes koï ne connut cependant qu'un succès qui ne dépassa pas les frontières du Niigata. Mais au sein de cette région, certains poissons valurent bientôt leur pesant d'or et l'élevage fut temporairement interdit par les autorités locales qui considéraient cela comme de la spéculation. Ce n'est qu'à la suite d'une exposition à Tokyo en 1914 que les koïs sortirent de leur isolement, le maire d'un village du Niigata y ayant envoyé 27 exemplaires afin de sensibiliser le public aux conditions de travail pénible dans la région. Huit de ces carpes furent offertes au fils de l'empereur Taisho. Ce fut cet évènement qui permit la propagation de la carpe koï dans le monde entier. Le marché de la carpe koï s'est considérablement développé à l'issue de la Seconde Guerre mondiale grâce au transport aérien et la création d'élevages à l'extérieur du Japon. Maintenant, de nombreux pays assurent la production de carpes ornementales, mais la qualité des koïs élevées au Japon surpasse néanmoins toute concurrence.
Marché et collectionneurs
Les carpes koï peuvent être très onéreuses, suivant leur classe : A, B et C ; la classe A étant la plus chère. En effet, on compte des individus dont le prix peut aller jusqu'à 200 000 dollars (180 000 euros) pour les plus rares au début des années 2000. Le record absolu est une vente réalisée en 2008 pour un montant de 347 000 euros. Les carpes koï de classe A proviennent uniquement d'élevages japonais et sont pour cela considérées comme étant les meilleures. Les carpes koï nées de parents japonais, mais qui n'ont pas été élevées au Japon forment la classe B. En revanche, les carpes de grade C n'ont pas de liens de parenté avec les koïs et ne devraient pas être considérées comme telles. La plus prisée des carpes koï est le tancho. Cette carpe est blanche avec une tache rouge unique sur la tête. Son nom provient de la grue du Japon, qui arbore également ce motif. Elle est particulièrement appréciée chez les Japonais puisque son motif rappelle le drapeau du pays.
La carpe de brocart dans la culture
Les carpes de brocart ont une place importante dans la culture japonaise, où elles sont un symbole d'amour et de virilité[réf. souhaitée]. Leur succès s'est étendu partout où ces poissons ont été exportés, elles apportent beaucoup de charme et de dynamisme à un bassin de jardin. Les carpes koï étant très calmes, elles apportent beauté et sérénité dans un bassin. Au Japon, ces carpes servaient à agrémenter les jardins. Elles donnaient une touche de couleur, de vie et de sérénité dans ce lieu de repos. La tradition voulait que l'invité prestigieux choisisse en entrant le spécimen qu'il allait déguster pendant le repas. Plus précisément, elles représentent la force et la persévérance, du fait qu'elles remontent à contre-courant les rivières et cascades du Japon et d'Asie. Selon la légende chinoise, les carpes du fleuve Jaune, après avoir remonté le fleuve, s'envoleraient vers le ciel en se transformant en dragons. Cette légende serait à l'origine au Japon des koi-nobori (鯉幟, lit. "bannière carpe"), des manches à air en forme de carpes koï utilisées lors de la journée des enfants, le 5 mai, héritée de la fête chinoise du duanwu, du 5e jour du 5e mois du calendrier lunaire), ayant jadis pour objet d'encourager les garçons à être forts et valeureux. On raconte que le philosophe Confucius reçut une carpe koï de la part du roi et aurait nommé son fils d'après ce poisson, car il était le seul à pouvoir remonter les chutes du fleuve Jaune. En Chine, elles agrémentent les bassins des temples bouddhistes et taoïstes, généralement au côté de tortues carnivores, créant ainsi un équilibre naturel, ou des parcs et jardins. De la même façon, en Europe, on place souvent des carpes de couleur noire dans les bassins des châteaux.
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Koi or more specifically nishikigoi literally "brocaded carp", are ornamental varieties of domesticated common carp (Cyprinus carpio) that are kept for decorative purposes in outdoor koi ponds or water gardens. Koi varieties are distinguished by coloration, patterning, and scalation. Some of the major colors are white, black, red, yellow, blue, and cream. The most popular category of koi is the Gosanke, which is made up of the Kohaku, Taisho Sanshoku, and Showa Sanshoku varieties.
Koi or more specifically nishikigoi literally "brocaded carp", are ornamental varieties of domesticated common carp (Cyprinus carpio) that are kept for decorative purposes in outdoor koi ponds or water gardens. Koi varieties are distinguished by coloration, patterning, and scalation. Some of the major colors are white, black, red, yellow, blue, and cream. The most popular category of koi is the Gosanke, which is made up of the Kohaku, Taisho Sanshoku, and Showa Sanshoku varieties.
Etymology
The word koi comes from Japanese, simply meaning "carp". It includes both the dull grey fish and the brightly colored varieties. What are known as koi in English are referred to more specifically as nishikigoi in Japan (literally meaning "brocaded carp"). In Japanese, koi is a homophone for another word that means "affection" or "love"; koi are therefore symbols of love and friendship in Japan.
The word koi comes from Japanese, simply meaning "carp". It includes both the dull grey fish and the brightly colored varieties. What are known as koi in English are referred to more specifically as nishikigoi in Japan (literally meaning "brocaded carp"). In Japanese, koi is a homophone for another word that means "affection" or "love"; koi are therefore symbols of love and friendship in Japan.
History
Carp are a large group of fish originally found in Central Europe and Asia. Various carp species were originally domesticated in East Asia, where they were used as food fish. The ability of carp to survive and adapt to many climates and water conditions allowed the domesticated species to be propagated to many new locations, including Japan. Natural color mutations of these carp would have occurred across all populations. Carp were first bred for color mutations in China more than a thousand years ago, where selective breeding of the Prussian carp (Carassius gibelio) led to the development of the goldfish. The common carp was aquacultured as a food fish at least as far back as the fifth century BC in China, and in the Roman Empire during the spread of Christianity in Europe. Common carp were bred for color in Japan in the 1820s, initially in the town of Ojiya in the Niigata prefecture on the northeastern coast of Honshu island. By the 20th century, a number of color patterns had been established, most notably the red-and-white Kohaku. The outside world was not aware of the development of color variations in koi until 1914, when the Niigata koi were exhibited in the annual exposition in Tokyo. At that point, interest in koi exploded throughout Japan. The hobby of keeping koi eventually spread worldwide. They are now commonly sold in most pet stores, with higher-quality fish available from specialist dealers. Extensive hybridization between different populations has muddled the historical zoogeography of the common carp. However, scientific consensus is that there are at least two subspecies of the common carp, one from Western Eurasia (Cyprinus carpio carpio) and another from East Asia (Cyprinus carpio haematopterus). One recent study on the mitochondrial DNA of various common carp indicate that koi are of the East Asian subspecies. However, another recent study on the mitochondrial DNA of koi have found that koi are descended from multiple lineages of common carp from both Western Eurasian and East Asian varieties. This could be the result of koi being bred from a mix of East Asian and Western Eurasian carp varieties, or being bred exclusively from East Asian varieties and being subsequently hybridized with Western Eurasian varieties (the butterfly koi is one known product of such a cross). Which is true has not been resolved. It was from this handful of Koi breeds that all other Nishikigoi types were bred, with the exception of the Ogon variety (single colored, metallic Koi) which wasn't developed until recently. The last development of this early time was a great breakthrough in Koi breeding and is still revered as one of the most traditional of Koi breeds. A tri-colored Koi called a Taisho Sanshoku, more commonly known as the Sanke, was first seen during the Meiji era (1868-1912). Though it is not known who first developed this breed, the Sanke was exhibited for the first time in 1915, when the Koi was about 15 years old.
Carp are a large group of fish originally found in Central Europe and Asia. Various carp species were originally domesticated in East Asia, where they were used as food fish. The ability of carp to survive and adapt to many climates and water conditions allowed the domesticated species to be propagated to many new locations, including Japan. Natural color mutations of these carp would have occurred across all populations. Carp were first bred for color mutations in China more than a thousand years ago, where selective breeding of the Prussian carp (Carassius gibelio) led to the development of the goldfish. The common carp was aquacultured as a food fish at least as far back as the fifth century BC in China, and in the Roman Empire during the spread of Christianity in Europe. Common carp were bred for color in Japan in the 1820s, initially in the town of Ojiya in the Niigata prefecture on the northeastern coast of Honshu island. By the 20th century, a number of color patterns had been established, most notably the red-and-white Kohaku. The outside world was not aware of the development of color variations in koi until 1914, when the Niigata koi were exhibited in the annual exposition in Tokyo. At that point, interest in koi exploded throughout Japan. The hobby of keeping koi eventually spread worldwide. They are now commonly sold in most pet stores, with higher-quality fish available from specialist dealers. Extensive hybridization between different populations has muddled the historical zoogeography of the common carp. However, scientific consensus is that there are at least two subspecies of the common carp, one from Western Eurasia (Cyprinus carpio carpio) and another from East Asia (Cyprinus carpio haematopterus). One recent study on the mitochondrial DNA of various common carp indicate that koi are of the East Asian subspecies. However, another recent study on the mitochondrial DNA of koi have found that koi are descended from multiple lineages of common carp from both Western Eurasian and East Asian varieties. This could be the result of koi being bred from a mix of East Asian and Western Eurasian carp varieties, or being bred exclusively from East Asian varieties and being subsequently hybridized with Western Eurasian varieties (the butterfly koi is one known product of such a cross). Which is true has not been resolved. It was from this handful of Koi breeds that all other Nishikigoi types were bred, with the exception of the Ogon variety (single colored, metallic Koi) which wasn't developed until recently. The last development of this early time was a great breakthrough in Koi breeding and is still revered as one of the most traditional of Koi breeds. A tri-colored Koi called a Taisho Sanshoku, more commonly known as the Sanke, was first seen during the Meiji era (1868-1912). Though it is not known who first developed this breed, the Sanke was exhibited for the first time in 1915, when the Koi was about 15 years old.
Varieties
Koi varieties are distinguished by coloration, patterning, and scalation. Some of the major colors are white, black, red, yellow, blue, and cream. While the possible colors are virtually limitless, breeders have identified and named a number of specific categories. The most popular category is Gosanke, which is made up of the Kohaku, Taisho Sanshoku, and Showa Sanshoku varieties. New koi varieties are still being actively developed. Ghost koi developed in the 1980s have become very popular in the United Kingdom; they are a hybrid of wild carp and Ogon koi, and are distinguished by their metallic scales. Butterfly koi (also known as longfin koi, or dragon carp), also developed in the 1980s, are notable for their long and flowing fins. They are hybrids of koi with Asian carp. Butterfly koi and ghost koi are considered by some to be not true nishikigoi.
Koi varieties are distinguished by coloration, patterning, and scalation. Some of the major colors are white, black, red, yellow, blue, and cream. While the possible colors are virtually limitless, breeders have identified and named a number of specific categories. The most popular category is Gosanke, which is made up of the Kohaku, Taisho Sanshoku, and Showa Sanshoku varieties. New koi varieties are still being actively developed. Ghost koi developed in the 1980s have become very popular in the United Kingdom; they are a hybrid of wild carp and Ogon koi, and are distinguished by their metallic scales. Butterfly koi (also known as longfin koi, or dragon carp), also developed in the 1980s, are notable for their long and flowing fins. They are hybrids of koi with Asian carp. Butterfly koi and ghost koi are considered by some to be not true nishikigoi.