AMPHIPRION CLARKII - (BENNETT 1830)
Actinopterygii (Gigaclass) > Actinopteri (Class) > Teleostei (Subclass) > Blenniiformes (Order) > Pomacentridae (Family) > Pomacentrinae (Subfamily) > Amphiprion (Genus)
Poisson-clown de Clark, Amphiprion de Clark, Clown noir à queue jaune, Poisson-clown à queue jaune, Yellowtail clownfish, Clark's anemonefish, Chocolate clownfish, Black clown, Pesce pagliaccio di Clark, Pez payaso de Clark, Clarks Anemonenfisch, Schwartzer Anemonenfisch, Zwarte anemoonvis, Kumanomi, クマノミ, 흰동가리, 克氏双锯鱼, 克氏海葵魚, Cá Khoang cổ ba sọc,
Description
Épines dorsales (total) : 10-11; Rayons mous dorsaux (total) : 14-17 (habituellement : 15-16); Épines anales : 2; Rayons mous anaux : 12-15 (habituellement : 13-14); Rayons nageoires pectorales : 18-21; Écailles ligne latérale : 34-35; Branchiospines : 18-30; Hauteur du corps : 1.7-2.0 en SL. Corps modérément profond et comprimé. Opercule, subopercule, préopercule et interopercule dentelés. Dents des mâchoires unisérielles, petites dents coniques disposées en une seule rangée. Nageoire caudale faiblement émarginée; Absence de rayons saillants en forme d'épines sur les bords supérieur et inférieur de la base de la nageoire caudale. Taille maximum : 14.0 cm TL. Âge maximal déclaré : 11 ans. Profondeur : 1 - 60 m.
Couleur
Orange à presque noir avec trois barres blanches, dont une en travers du pédoncule caudal. La barre du milieu est la plus large. La nageoire caudale est soit blanche soit jaune, et les nageoires dorsale, anale et pelvienne sont de couleur variable allant du jaune-orange au noirâtre.
Étymologie
Amphiprion : du Grec, amphi = des deux côtés + du Grec, prion, -onos = scier. Se réfère au sub- et au pré- opercule profondément dentelés.
clarkii : en l'honneur du graveur John Clark, "qui non seulement a rendu amplement justice à l'auteur, mais lui a aussi imposé de très grandes obligations pour son aide compétente" en fournissant des illustrations pour le livre de Bennett sur les poissons trouvés sur la côte de Ceylan (Sri Lanka).
Description originale : Anthias clarkii Bennett, 1830 - Localité type : côte sud du Sri Lanka.
Distribution
Pacifique Indo-Ouest : golfe Persique et Oman, à l'Est, îles Caroline (États fédérés de Micronésie) et archipel des Tuamotu (Polynésie française), au Nord, Corée et centre du Japon, au Sud, Nord de l'Australie et Nouvelle-Calédonie.
Biologie
Vit toujours en association avec une grande anémone, où se trouvent souvent un couple mature et plusieurs petits mâles immatures. Présent dans les lagons, les passes et jusqu’en bas de la pente externe des récifs coralliens. Omnivore, il se nourrit de zooplancton, d’algues et de petits invertébrés benthiques. Les individus les plus grands peuvent s’éloigner de plusieurs mètres de l’anémone pour trouver de la nourriture, alors que les plus petits ne la quittent pratiquement pas. Il est hermaphrodite protandre et monogame. Le spécimen le plus gros est toujours la femelle et le deuxième, par ordre de grandeur, est toujours le mâle reproducteur. Tous les autres poissons sont des subadultes immatures, plus petits, mais pas forcément plus jeunes : ce statut social inférieur inhibe fortement leur croissance. Si la femelle meurt, alors le mâle reproducteur (qui conserve des ébauches d’organes génitaux femelles) se transforme en femelle et le mâle immature le plus grand devient mâle reproducteur. Du fait de sa large répartition, sa reproduction dépend de la latitude à laquelle il vit : en zone tropicale, elle a lieu toute l’année, en fonction des cycles lunaires; En zone subtropicale (sud du Japon), elle n’a lieu que pendant une courte période de l’été, sans influence des cycles lunaires. Le mâle nettoie un pan de rocher ou un morceau de corail, à proximité de l’anémone hôte. La femelle y dépose quelques centaines d’œufs ovoïdes de couleur rouge-orange ou ambre, solidement ancrés au support par un fin filament, en lignes successives. Le mâle féconde ensuite les œufs et va les garder et les soigner jusqu’à leur éclosion. Il les nettoie régulièrement et les protège des éventuels prédateurs. Il les oxygène en battant des pectorales ou en soufflant par la bouche sur les œufs. L’éclosion intervient six à treize jours plus tard, suivant la température (de 6,5 jours à 27 °C à 13,5 jours à 21 °C). Les larves dérivent ensuite dans le plancton pendant 11,5 jours en moyenne, avant de rejoindre une nouvelle anémone. La distance de dispersion peut atteindre 27 km chez cette espèce. Il peut émettre des sons. Parmi les poissons-clowns, il est un des plus bruyants, produisant des sons aussi bien lors d’agressions extérieures qu’au cours de relations intraspécifiques, notamment entre individus dominants et subalternes. C'est un poisson très populaire en aquariophilie marine, du fait de sa robustesse et de la facilité à le reproduire en captivité. Il est cependant assez agressif avec ses congénères, raison pour laquelle il faut éviter de conserver plus d’un couple dans un même aquarium.
Espèces ressemblantes
Poisson-clown de Clark, Amphiprion de Clark, Clown noir à queue jaune, Poisson-clown à queue jaune, Yellowtail clownfish, Clark's anemonefish, Chocolate clownfish, Black clown, Pesce pagliaccio di Clark, Pez payaso de Clark, Clarks Anemonenfisch, Schwartzer Anemonenfisch, Zwarte anemoonvis, Kumanomi, クマノミ, 흰동가리, 克氏双锯鱼, 克氏海葵魚, Cá Khoang cổ ba sọc,
Description
Épines dorsales (total) : 10-11; Rayons mous dorsaux (total) : 14-17 (habituellement : 15-16); Épines anales : 2; Rayons mous anaux : 12-15 (habituellement : 13-14); Rayons nageoires pectorales : 18-21; Écailles ligne latérale : 34-35; Branchiospines : 18-30; Hauteur du corps : 1.7-2.0 en SL. Corps modérément profond et comprimé. Opercule, subopercule, préopercule et interopercule dentelés. Dents des mâchoires unisérielles, petites dents coniques disposées en une seule rangée. Nageoire caudale faiblement émarginée; Absence de rayons saillants en forme d'épines sur les bords supérieur et inférieur de la base de la nageoire caudale. Taille maximum : 14.0 cm TL. Âge maximal déclaré : 11 ans. Profondeur : 1 - 60 m.
Couleur
Orange à presque noir avec trois barres blanches, dont une en travers du pédoncule caudal. La barre du milieu est la plus large. La nageoire caudale est soit blanche soit jaune, et les nageoires dorsale, anale et pelvienne sont de couleur variable allant du jaune-orange au noirâtre.
Au Vanuatu et en Nouvelle-Calédonie, les adultes peuvent être de couleur entièrement jaune-orangée, avec seulement les deux bandes blanches antérieures et parfois une petite tache sombre au niveau de la deuxième barre. À l’inverse, les poissons vivant dans l’anémone Stichodactyla mertensii (Brandt, 1835) sont souvent entièrement noirs avec un masque pâle, les barres blanches et une queue blanche ou jaune.
Les juvéniles sont toujours entièrement orange avec deux bandes blanches lisérées de noir. Ils s’assombrissent progressivement avec l’âge.
Les juvéniles sont toujours entièrement orange avec deux bandes blanches lisérées de noir. Ils s’assombrissent progressivement avec l’âge.
Étymologie
Amphiprion : du Grec, amphi = des deux côtés + du Grec, prion, -onos = scier. Se réfère au sub- et au pré- opercule profondément dentelés.
clarkii : en l'honneur du graveur John Clark, "qui non seulement a rendu amplement justice à l'auteur, mais lui a aussi imposé de très grandes obligations pour son aide compétente" en fournissant des illustrations pour le livre de Bennett sur les poissons trouvés sur la côte de Ceylan (Sri Lanka).
Description originale : Anthias clarkii Bennett, 1830 - Localité type : côte sud du Sri Lanka.
Distribution
Pacifique Indo-Ouest : golfe Persique et Oman, à l'Est, îles Caroline (États fédérés de Micronésie) et archipel des Tuamotu (Polynésie française), au Nord, Corée et centre du Japon, au Sud, Nord de l'Australie et Nouvelle-Calédonie.
Biologie
Vit toujours en association avec une grande anémone, où se trouvent souvent un couple mature et plusieurs petits mâles immatures. Présent dans les lagons, les passes et jusqu’en bas de la pente externe des récifs coralliens. Omnivore, il se nourrit de zooplancton, d’algues et de petits invertébrés benthiques. Les individus les plus grands peuvent s’éloigner de plusieurs mètres de l’anémone pour trouver de la nourriture, alors que les plus petits ne la quittent pratiquement pas. Il est hermaphrodite protandre et monogame. Le spécimen le plus gros est toujours la femelle et le deuxième, par ordre de grandeur, est toujours le mâle reproducteur. Tous les autres poissons sont des subadultes immatures, plus petits, mais pas forcément plus jeunes : ce statut social inférieur inhibe fortement leur croissance. Si la femelle meurt, alors le mâle reproducteur (qui conserve des ébauches d’organes génitaux femelles) se transforme en femelle et le mâle immature le plus grand devient mâle reproducteur. Du fait de sa large répartition, sa reproduction dépend de la latitude à laquelle il vit : en zone tropicale, elle a lieu toute l’année, en fonction des cycles lunaires; En zone subtropicale (sud du Japon), elle n’a lieu que pendant une courte période de l’été, sans influence des cycles lunaires. Le mâle nettoie un pan de rocher ou un morceau de corail, à proximité de l’anémone hôte. La femelle y dépose quelques centaines d’œufs ovoïdes de couleur rouge-orange ou ambre, solidement ancrés au support par un fin filament, en lignes successives. Le mâle féconde ensuite les œufs et va les garder et les soigner jusqu’à leur éclosion. Il les nettoie régulièrement et les protège des éventuels prédateurs. Il les oxygène en battant des pectorales ou en soufflant par la bouche sur les œufs. L’éclosion intervient six à treize jours plus tard, suivant la température (de 6,5 jours à 27 °C à 13,5 jours à 21 °C). Les larves dérivent ensuite dans le plancton pendant 11,5 jours en moyenne, avant de rejoindre une nouvelle anémone. La distance de dispersion peut atteindre 27 km chez cette espèce. Il peut émettre des sons. Parmi les poissons-clowns, il est un des plus bruyants, produisant des sons aussi bien lors d’agressions extérieures qu’au cours de relations intraspécifiques, notamment entre individus dominants et subalternes. C'est un poisson très populaire en aquariophilie marine, du fait de sa robustesse et de la facilité à le reproduire en captivité. Il est cependant assez agressif avec ses congénères, raison pour laquelle il faut éviter de conserver plus d’un couple dans un même aquarium.
Espèces ressemblantes
- Amphiprion akindynos (Allen, 1972) - Présent en Nouvelle-Calédonie - Lien vers l'espèce (ici). Présente une barre centrale plus étroite et n'a pas une démarcation aussi claire entre la barre blanche à la base de la nageoire caudale et la coloration sombre du reste du corps.
- Amphiprion allardi (Klausewitz, 1970) - Présent dans l'Ouest de l'océan Indien : KwaZulu-Natal (Afrique du Sud), Afrique de l'Est, Seychelles, canal du Mozambique, Madagascar et Mascareignes (la Réunion, île Maurice et Rodrigues). Présente une barre centrale plus étroite et n'a pas une démarcation aussi claire entre la barre blanche à la base de la nageoire caudale et la coloration sombre du reste du corps.
- Amphiprion bicinctus (Rüppell, 1830) - Présent en mer Rouge; Ouest de l'océan Indien : golfe d'Aden, Socotra (Yémen), Seychelles, archipel des Chagos (territoire britannique de l'océan Indien). Présente un corps jaune à marron orangé sur sa partie supérieure parfois très foncé presque noir. Une bande blanc bleuté cernée de noir traverse le milieu du corps verticalement et une seconde plus large derrière la tête, toutes les deux se terminent en pointe.
- Amphiprion chagosensis (Allen, 1972) - Présent en mer Rouge et océan Indien : Archipel des Chagos (territoire britannique de l'océan Indien) endémique. Présente une barre centrale plus étroite et n'a pas une démarcation aussi nette entre la barre blanche à la base de la nageoire caudale et la coloration sombre du reste du corps.
- Amphiprion chrysogaster (Cuvier, 1830) - Présent dans le Sud-Ouest de l'océan Indien : Madagascar et Mascareigne (la Réunion, île Maurice et Rodrigues). Présente trois barres blanches, mais une nageoire caudale sombre, souvent avec une bordure blanche sur les bords supérieur et inférieur.
- Amphiprion chrysopterus (Cuvier, 1830) - Présent en Nouvelle-Calédonie. Présente généralement des nageoires dorsale et anale jaune-orange, une bande blanche centrale plus étroite, et seuls les juvéniles ont une troisième bande sur le pédoncule caudal.
- Amphiprion fuscocaudatus (Allen, 1972) - Présent dans l'Ouest de l'océan Indien : Seychelles et Aldabra. Présente trois barres blanches, mais aussi une nageoire caudale sombre, souvent avec une bordure blanche sur les bords supérieur et inférieur.
- Amphiprion latifasciatus (Allen, 1972) - Présent dans l'Ouest de l'océan Indien : Canal de Mozambique et Madagascar. Présente une nageoire caudale fourchue et une troisième barre blanche incomplète ou absente.
- Amphiprion sebae (Bleeker, 1853) - Présent dans le Pacifique Indo-Ouest: golfe d'Aden et Oman, à l'Est, mer d'Andaman et Indonésie de l'Ouest. Présente une livrée très similaire mais ne possède que deux bandes blanches latérales et est fréquemment plus sombre. De plus, la moitié postérieure de sa face dorsale présente une bordure blanche, dans le prolongement de la seconde bande blanche.
- Amphiprion tricinctus (Schultz & Welander, 1953) - Présent dans le Pacifique Ouest : endémique des îles Marshall. Présente trois barres blanches, mais une nageoire caudale sombre, souvent avec une bordure blanche sur les bords supérieur et inférieur.
Synonymes
Amphiprion albiventris (Cuvier, 1828)
Amphiprion boholensis (Cartier, 1874)
Amphiprion chrysargyrus (Richardson, 1846)
Amphiprion clarki (Bennett, 1830)
Amphiprion clarkia (Bennett, 1830)
Amphiprion japonicus (Temminck & Schlegel, 1843)
Amphiprion melanostolus (Richardson, 1842)
Amphiprion papuensis (MacLeay, 1883)
Amphiprion snyderi (Ishikawa, 1904)
Amphiprion xanthurus (Cuvier, 1830)
Anthias clarkii (Bennett, 1830)
Sparus milii (Bory de Saint-Vincent, 1831)
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Description
Dorsal spines (total): 10-11; Dorsal soft rays (total): 14-17 (usually: 15-16); Anal spines: 2; Anal soft rays: 12-15 (usually: 13-14); Pectoral fin rays: 18-21; Lateral line scale: 34-35; Gill rakers: 18-30; Body depth: 1.7-2.0 in SL. Body moderately deep and compressed. Opercle, subopercle, preopercle and interopercle serrate. Teeth on jaws uniserial. Caudal fin weakly emarginate; No conspicuous projecting spine-like rays at upper and lower edges of caudal-fin base. Max. length: 14.0 cm TL. Max. reported age: 11 years. Depth range: 1 - 60 m.
Color
An orange to almost black anemonefish with three white bars, including one across the caudal peduncle. the middle bar is the broadest. The caudal fins is either white or yellow, and the dorsal, anal and pelvic fins are variably colored ranging from yellowish-orange to blackish.
In Vanuatu and New Caledonia, adults can be entirely yellow-orange, with only the two anterior white stripes and sometimes a small dark spot on the second bar. Conversely, fish living in the anemone Stichodactyla mertensii (Brandt, 1835) are often entirely black with a pale mask, white bars and a white or yellow tail.
Juveniles are always entirely orange with two white bands edged in black. They gradually darken with age.
Etymology
Amphiprion: from Greek, amphi = on both sides + from Greek, prion, -onos = saw. Referring to deeply serrated sub- and preoperculum.
clarkii: in honor of engraver John Clark, “who has not only done ample justice to, but laid the author under very great obligations to him for his able assistance” providing illustrations for Bennett’s book on the fishes found on the coast of Ceylon (Sri Lanka).
Original description: Anthias clarkii Bennett, 1830 - Type locality: Southern coast of Sri Lanka.
Distribution
Indo-West Pacific: Persian Gulf and Oman, east to Caroline Islands (Federated States of Micronesia) and Tuamotu Islands (French Polynesia), north to Korea and central Japan, south to northern Australia and New Caledonia.
Biology
Lives with anemones. It form mutualistic symbiotic relationships with all anemone species that are known to host anemone- and clownfishes. In this relationship, the anemonefish receives shelter and a protected nesting location, while the host anemone receives defense from its resident anemonefishes. Anemones remain healthier while hosting anemonefish, developing terminal bulbs on the tips of the tentacles and thereby increasing the amount of surface area from which the photosynthetic algae housed within the anemone’s tentacles can capture solar energy. These bulbs do not develop in anemones lacking anemonefish. Benthic spawner. Sex reversal is completed in less than 5-6 months. Oviparous, distinct pairing during breeding. Monogamous mating is observed as both obligate and social. Eggs are demersal and adhere to the substrate. Males guard and aerate the eggs. Aquarium fish, has been reared in captivity. Eggs generally hatch 6 to 8 days after fertilization, depending on the surrounding water temperature; the cooler the water, the longer the incubation period. Once the eggs hatch, larvae are completely independent from their parents. The planktonic larval stage lasts between 7 to 9 days and ends when the juvenile fish returns to the bottom and finds a suitable host anemone to inhabit.
Similar species
Amphiprion albiventris (Cuvier, 1828)
Amphiprion boholensis (Cartier, 1874)
Amphiprion chrysargyrus (Richardson, 1846)
Amphiprion clarki (Bennett, 1830)
Amphiprion clarkia (Bennett, 1830)
Amphiprion japonicus (Temminck & Schlegel, 1843)
Amphiprion melanostolus (Richardson, 1842)
Amphiprion papuensis (MacLeay, 1883)
Amphiprion snyderi (Ishikawa, 1904)
Amphiprion xanthurus (Cuvier, 1830)
Anthias clarkii (Bennett, 1830)
Sparus milii (Bory de Saint-Vincent, 1831)
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Description
Dorsal spines (total): 10-11; Dorsal soft rays (total): 14-17 (usually: 15-16); Anal spines: 2; Anal soft rays: 12-15 (usually: 13-14); Pectoral fin rays: 18-21; Lateral line scale: 34-35; Gill rakers: 18-30; Body depth: 1.7-2.0 in SL. Body moderately deep and compressed. Opercle, subopercle, preopercle and interopercle serrate. Teeth on jaws uniserial. Caudal fin weakly emarginate; No conspicuous projecting spine-like rays at upper and lower edges of caudal-fin base. Max. length: 14.0 cm TL. Max. reported age: 11 years. Depth range: 1 - 60 m.
Color
An orange to almost black anemonefish with three white bars, including one across the caudal peduncle. the middle bar is the broadest. The caudal fins is either white or yellow, and the dorsal, anal and pelvic fins are variably colored ranging from yellowish-orange to blackish.
In Vanuatu and New Caledonia, adults can be entirely yellow-orange, with only the two anterior white stripes and sometimes a small dark spot on the second bar. Conversely, fish living in the anemone Stichodactyla mertensii (Brandt, 1835) are often entirely black with a pale mask, white bars and a white or yellow tail.
Juveniles are always entirely orange with two white bands edged in black. They gradually darken with age.
Etymology
Amphiprion: from Greek, amphi = on both sides + from Greek, prion, -onos = saw. Referring to deeply serrated sub- and preoperculum.
clarkii: in honor of engraver John Clark, “who has not only done ample justice to, but laid the author under very great obligations to him for his able assistance” providing illustrations for Bennett’s book on the fishes found on the coast of Ceylon (Sri Lanka).
Original description: Anthias clarkii Bennett, 1830 - Type locality: Southern coast of Sri Lanka.
Distribution
Indo-West Pacific: Persian Gulf and Oman, east to Caroline Islands (Federated States of Micronesia) and Tuamotu Islands (French Polynesia), north to Korea and central Japan, south to northern Australia and New Caledonia.
Biology
Lives with anemones. It form mutualistic symbiotic relationships with all anemone species that are known to host anemone- and clownfishes. In this relationship, the anemonefish receives shelter and a protected nesting location, while the host anemone receives defense from its resident anemonefishes. Anemones remain healthier while hosting anemonefish, developing terminal bulbs on the tips of the tentacles and thereby increasing the amount of surface area from which the photosynthetic algae housed within the anemone’s tentacles can capture solar energy. These bulbs do not develop in anemones lacking anemonefish. Benthic spawner. Sex reversal is completed in less than 5-6 months. Oviparous, distinct pairing during breeding. Monogamous mating is observed as both obligate and social. Eggs are demersal and adhere to the substrate. Males guard and aerate the eggs. Aquarium fish, has been reared in captivity. Eggs generally hatch 6 to 8 days after fertilization, depending on the surrounding water temperature; the cooler the water, the longer the incubation period. Once the eggs hatch, larvae are completely independent from their parents. The planktonic larval stage lasts between 7 to 9 days and ends when the juvenile fish returns to the bottom and finds a suitable host anemone to inhabit.
Similar species
- Amphiprion akindynos (Allen, 1972) - Reported from New Caledonia - Link to the species (here). Presents a narrower central bar and do not have as clear a demarcation between the white bar at the base of the caudal fin and the dark coloration of the rest of the body.
- Amphiprion allardi (Klausewitz, 1970) - Reported from Western Indian Ocean: KwaZulu-Natal (South Africa) and East Africa to Seychelles, Mozambique Channel, Madagascar and Mascarenes (La Réunion, Mauritius, Rodrigues). Presents a narrower central bar and do not have as clear a demarcation between the white bar at the base of the caudal fin and the dark coloration of the rest of the body.
- Amphiprion bicinctus (Rüppell, 1830) - Reported from Red Sea; Western Indian Ocean: Gulf of Aden, Socotra (Yemen); Seychelles; Chagos Archipelago (British Indian Ocean Territory). Presents a yellow to orange-brown body on its upper part sometimes very dark almost black. A bluish-white stripe with a black border runs vertically across the middle of the body and a second, wider stripe behind the head, both ending in a point.
- Amphiprion chagosensis (Allen, 1972) - Reported from Red Sea; Indian Ocean: Chagos Archipelago (British Indian Ocean Territory). Presents a narrower central bar and do not have as clear a demarcation between the white bar at the base of the caudal fin and the dark coloration of the rest of the body.
- Amphiprion chrysogaster (Cuvier, 1830) - Reported from Southwestern Indian Ocean: Madagascar and Mascarenes (La Réunion, Mauritius, Rodrigues). Presents three white bars, but a dark caudal fin, often with a white border on the upper and lower edges.
- Amphiprion chrysopterus (Cuvier, 1830) - Reported from New Caledonia. Usually presents yellow-orange dorsal and anal fins, a narrower central white band, and only juveniles have a third band on the caudal peduncle.
- Amphiprion fuscocaudatus (Allen, 1972) - Reported from Western Indian Ocean: Seychelles and Aldabra (Seychelles). Presents three white bars, but a dark caudal fin, often with a white border on the upper and lower edges.
- Amphiprion latifasciatus (Allen, 1972) - Reported from Western Indian Ocean: Mozambique Channel and Madagascar. Presents a forked caudal fin and an incomplete or absent third white bar.
- Amphiprion sebae (Bleeker, 1853) - Reported from Indo-West Pacific: northern Indian Ocean: Gulf of Aden and Oman east to Andaman Sea and western Indonesia. Presents a very similar livery but has only two lateral white bands and is frequently darker. Moreover, the posterior half of its dorsal side has a white border, in the continuation of the second white band.
- Amphiprion tricinctus (Schultz & Welander, 1953) - Reported from Western Pacific: Marshall Islands endemic. Presents three white bars, but a dark caudal fin, often with a white border on the upper and lower edges.
Last update: 24, May 2024