LEPTOSCARUS VAIGIENSIS - (QUOY & GAIMARD, 1824)
Picture courtesy of: Alain Daoulas
Actinopterygii (Gigaclass) > Actinopteri (Class) > Teleostei (Subclass) > Labriformes (Order) > Labroidei (Suborder) > Labridae (Family) > Leptoscarus (Genus)
Perroquet des herbiers, Perroquet marbré, Perroquet pétrole, Seagrass parrotfish, Slender parrotfish, Marbled parrotfish, Petroleum parrotfish, Marbled parrot-fish, Blue-spotted parrotfish, Papagaio manchado, Loro jaspeado, Marmer-papegaaivis, Seegras-Papageifisch, Mizorebudai, ミゾレブダイ, 纖鸚嘴魚, 纖鸚鯉, Cá Mó va-gi,
Description
Épines dorsales (total) : 9; Rayons mous dorsaux (total) : 10; Épines anales : 3; Rayons mous anaux : 9; Rayons nageoires pectorales : 13; Vertèbres : 25; Écailles pré-dorsales médianes : 3-4 (habituellement : 4); Rangée d'écailles sur la joue : 1, sous l'œil : 1; Corps relativement allongé, Hauteur : 2.9-3.8 en SL; Les dents sont fusionnées pour former des plaques dentaires étroites, le bord de la plaque inférieure recouvrant la plaque supérieure lorsque la bouche est fermée; Les lèvres recouvrent entièrement les plaques dentaires des deux mâchoires; Plaque dentaire supérieure des mâles avec 1 à 5 canines de chaque côté. Les membranes branchiales sont largement jointes à l'isthme et ne forment pas de pli libre; Épines dorsales flexibles, membranes inter-épineuses nettement incisées; Nageoire caudale modérément arrondie. Taille maximum : 38.0 cm TL. Poids maximum publié : 657.00 g. Profondeur : 1 - 50 m, généralement : 1 - 15 m.
Couleur
Juvéniles : de 3-4 cm est vert olive avec un ventre blanchâtre, une large ligne foncée part du museau, traverse l’œil et va jusqu’à la partie supérieure du pédoncule caudal, une ligne foncée plus fine part des joues, passe par la base des pectorales et s’achève vers la fin de la nageoire anale. On peut aussi trouver une ligne moins foncée et diffuse du front au bout de la nageoire dorsale. L’iris est argenté avec un anneau doré autour de la pupille. Les juvéniles de plus de 4 cm sont vert olive à gris, le corps est moucheté de petites taches claires, la face ventrale est claire avec 4 lignes horizontales plus pâles, les nageoires dorsale et anale sont translucides avec des rayons bruns, la caudale est translucide à rayons verdâtres, l’iris est orange. Des marbrures discrètes apparaissent, qui deviendront de plus en plus nettes au cours de la croissance, la livrée adulte étant acquise autour de 7 cm.
Femelles : couleur plus régulièrement verte, la ligne horizontale blanche qui marque le corps du mâle est chez elle le plus souvent indistincte, et les flancs sont marqués par une à trois séries de grosses taches blanches assez espacées et organisées horizontalement dans le prolongement les unes des autres. Les deux plus distinctes se situent pour la première sur une ligne partant du haut de l’opercule, et pour la seconde, des nageoires pectorales. La face ventrale est le plus souvent bleutée, et porte trois lignes de taches blanches très rapprochées, elles aussi plus ou moins distinctes. Certaines écailles peuvent être mouchetées de points blancs, d’autres presque entièrement marron. Il y a une marque brune plus ou moins foncée à la base des pectorales. Les nageoires pelviennes et anale portent des taches brunes.
Mâles : couleur variable, pouvant aller du gris au vert en passant par un brun clair ou un beige orangé plus ou moins prononcés. La face ventrale est généralement plus claire, le plus souvent dans la même teinte que la face dorsale mais elle peut être aussi de la même tonalité que le reste du corps, ou presque blanche, ou jaunissante. Le corps est entièrement couvert, du museau à la nageoire caudale incluse, de petites taches bleues plus ou moins apparentes formant parfois quelques tirets. La forme, la taille et le nombre de ces taches varient en fonction des individus. Les flancs sont parcourus en leur milieu par une bande horizontale blanche formée par une agrégation de motifs approximativement triangulaires. Cette bande commence derrière l’opercule et va jusqu’au pédoncule caudal. Cette bande est plus ou moins large ou régulière, et elle peut être peu distincte.
Couleurs communes aux deux sexes : deux bandes blanches en forme de selle inversée sous le menton, dont la première peut rejoindre l’œil et la seconde le milieu de la joue. Le bord des écailles est plus clair que leur centre, et leur couleur peut varier du clair au foncé dans un même ton, indépendamment les unes des autres, donnant alors un aspect brouillé ou marbré à la livrée.
Étymologie
Leptoscarus : du Grec, lepto-, = mince, léger, fin + du Latin, scarus = scare, ou poisson de mer (scare est le nom vernaculaire générique des poissons-perroquets). Le mot latin est dérivé du Grec, skaros, de même sens. Les Grecs connaissaient cette famille à travers Sparisoma cretense (Linnaeus 1758), présent sur leurs côtes, Aristote en décrit les viscères.
vaigiensis : vient de Waigiou ou Waigeo, la plus grande île des Raja Ampat, en Indonésie.
Description originale : Scarus vaigiensis Quoy & Gaimard, 1824 - Localité type : Waigeo, Raja Ampat, Indonésie.
Distribution
Mer Rouge; Pacifique Indo-Ouest : Cap-Oriental et KwaZulu-Natal (Afrique du Sud), Afrique de l'Est, Seychelles, Madagascar et Mascareignes (La Réunion, île Maurice, Rodrigues), à l'Est, îles Pitcairn, au Nord, préfecture de Kagoshima (Sud du Japon) et îles Ogasawara, au Sud, île Rottnest (Australie de l'Ouest), Sydney (Nouvelle-Galles du Sud, Australie), île Lord Howe (Australie), Nouvelle-Calédonie, nord de la Nouvelle-Zélande et Rapa (Polynésie française).
Actinopterygii (Gigaclass) > Actinopteri (Class) > Teleostei (Subclass) > Labriformes (Order) > Labroidei (Suborder) > Labridae (Family) > Leptoscarus (Genus)
Perroquet des herbiers, Perroquet marbré, Perroquet pétrole, Seagrass parrotfish, Slender parrotfish, Marbled parrotfish, Petroleum parrotfish, Marbled parrot-fish, Blue-spotted parrotfish, Papagaio manchado, Loro jaspeado, Marmer-papegaaivis, Seegras-Papageifisch, Mizorebudai, ミゾレブダイ, 纖鸚嘴魚, 纖鸚鯉, Cá Mó va-gi,
Description
Épines dorsales (total) : 9; Rayons mous dorsaux (total) : 10; Épines anales : 3; Rayons mous anaux : 9; Rayons nageoires pectorales : 13; Vertèbres : 25; Écailles pré-dorsales médianes : 3-4 (habituellement : 4); Rangée d'écailles sur la joue : 1, sous l'œil : 1; Corps relativement allongé, Hauteur : 2.9-3.8 en SL; Les dents sont fusionnées pour former des plaques dentaires étroites, le bord de la plaque inférieure recouvrant la plaque supérieure lorsque la bouche est fermée; Les lèvres recouvrent entièrement les plaques dentaires des deux mâchoires; Plaque dentaire supérieure des mâles avec 1 à 5 canines de chaque côté. Les membranes branchiales sont largement jointes à l'isthme et ne forment pas de pli libre; Épines dorsales flexibles, membranes inter-épineuses nettement incisées; Nageoire caudale modérément arrondie. Taille maximum : 38.0 cm TL. Poids maximum publié : 657.00 g. Profondeur : 1 - 50 m, généralement : 1 - 15 m.
Couleur
Juvéniles : de 3-4 cm est vert olive avec un ventre blanchâtre, une large ligne foncée part du museau, traverse l’œil et va jusqu’à la partie supérieure du pédoncule caudal, une ligne foncée plus fine part des joues, passe par la base des pectorales et s’achève vers la fin de la nageoire anale. On peut aussi trouver une ligne moins foncée et diffuse du front au bout de la nageoire dorsale. L’iris est argenté avec un anneau doré autour de la pupille. Les juvéniles de plus de 4 cm sont vert olive à gris, le corps est moucheté de petites taches claires, la face ventrale est claire avec 4 lignes horizontales plus pâles, les nageoires dorsale et anale sont translucides avec des rayons bruns, la caudale est translucide à rayons verdâtres, l’iris est orange. Des marbrures discrètes apparaissent, qui deviendront de plus en plus nettes au cours de la croissance, la livrée adulte étant acquise autour de 7 cm.
Femelles : couleur plus régulièrement verte, la ligne horizontale blanche qui marque le corps du mâle est chez elle le plus souvent indistincte, et les flancs sont marqués par une à trois séries de grosses taches blanches assez espacées et organisées horizontalement dans le prolongement les unes des autres. Les deux plus distinctes se situent pour la première sur une ligne partant du haut de l’opercule, et pour la seconde, des nageoires pectorales. La face ventrale est le plus souvent bleutée, et porte trois lignes de taches blanches très rapprochées, elles aussi plus ou moins distinctes. Certaines écailles peuvent être mouchetées de points blancs, d’autres presque entièrement marron. Il y a une marque brune plus ou moins foncée à la base des pectorales. Les nageoires pelviennes et anale portent des taches brunes.
Mâles : couleur variable, pouvant aller du gris au vert en passant par un brun clair ou un beige orangé plus ou moins prononcés. La face ventrale est généralement plus claire, le plus souvent dans la même teinte que la face dorsale mais elle peut être aussi de la même tonalité que le reste du corps, ou presque blanche, ou jaunissante. Le corps est entièrement couvert, du museau à la nageoire caudale incluse, de petites taches bleues plus ou moins apparentes formant parfois quelques tirets. La forme, la taille et le nombre de ces taches varient en fonction des individus. Les flancs sont parcourus en leur milieu par une bande horizontale blanche formée par une agrégation de motifs approximativement triangulaires. Cette bande commence derrière l’opercule et va jusqu’au pédoncule caudal. Cette bande est plus ou moins large ou régulière, et elle peut être peu distincte.
Couleurs communes aux deux sexes : deux bandes blanches en forme de selle inversée sous le menton, dont la première peut rejoindre l’œil et la seconde le milieu de la joue. Le bord des écailles est plus clair que leur centre, et leur couleur peut varier du clair au foncé dans un même ton, indépendamment les unes des autres, donnant alors un aspect brouillé ou marbré à la livrée.
Étymologie
Leptoscarus : du Grec, lepto-, = mince, léger, fin + du Latin, scarus = scare, ou poisson de mer (scare est le nom vernaculaire générique des poissons-perroquets). Le mot latin est dérivé du Grec, skaros, de même sens. Les Grecs connaissaient cette famille à travers Sparisoma cretense (Linnaeus 1758), présent sur leurs côtes, Aristote en décrit les viscères.
vaigiensis : vient de Waigiou ou Waigeo, la plus grande île des Raja Ampat, en Indonésie.
Description originale : Scarus vaigiensis Quoy & Gaimard, 1824 - Localité type : Waigeo, Raja Ampat, Indonésie.
Distribution
Mer Rouge; Pacifique Indo-Ouest : Cap-Oriental et KwaZulu-Natal (Afrique du Sud), Afrique de l'Est, Seychelles, Madagascar et Mascareignes (La Réunion, île Maurice, Rodrigues), à l'Est, îles Pitcairn, au Nord, préfecture de Kagoshima (Sud du Japon) et îles Ogasawara, au Sud, île Rottnest (Australie de l'Ouest), Sydney (Nouvelle-Galles du Sud, Australie), île Lord Howe (Australie), Nouvelle-Calédonie, nord de la Nouvelle-Zélande et Rapa (Polynésie française).
Biologie
Présent dans les lagons, les mangroves ou les zones côtières abritées. Il fréquente les herbiers de phanérogames marines et les fonds rocheux ou coralliens riches en algues, où il trouve sa nourriture. C’est un herbivore essentiellement diurne, qui se nourrit de phanérogames (plantes à fleurs) marines ou de macro-algues en l’absence d’herbes, et parfois d’algues dérivantes (Sargassum spp.). Il consomme aussi bien les feuilles que les rhizomes des plantes. C’est la seule espèce actuellement connue de poisson-perroquet à être gonochorique (les sexes sont séparés et définitifs dès la naissance). La taille requise pour la maturité sexuelle se situe autour de 7 cm pour les deux sexes. La cour et l’émission des gamètes ont lieu au-dessus d’un herbier à très faible profondeur. La ponte peut avoir lieu par paires ou en groupes. Les œufs sont pélagiques. Les herbiers sont probablement le lieu privilégié d’installation des larves. Les juvéniles forment des groupes comprenant des juvéniles d’autres espèces et se cachent dans les herbiers au plus près du substrat. Tous sont à couleur dominante verte ou beige à brun clair : ils sont adaptés aux teintes de l’herbier, où ils sont difficiles à repérer pour des prédateurs. Le groupe fuit de façon synchrone devant un danger puis s’arrête un peu plus loin, certains individus prenant une attitude oblique de façon à être le moins visibles possible parmi les tiges des phanérogames. Ils semblent se nourrir de plantes épiphytes dans l’herbier.
Synonymes
Calliodon chlorolepis (Richardson, 1844)
Calliodon chlorolepsis (Richardson, 1844)
Leptoscarus coeruleopunctatus (Rüppell, 1835)
Leptoscarus vaigeinsis (Quoy & Gaimard, 1824)
Leptoscarus vaigensis (Quoy & Gaimard, 1824)
Leptoscarus vaigienis (Quoy & Gaimard, 1824)
Scarichthys auritus (Valenciennes, 1840)
Scarichthys caeruleopunctatus (Rüppell, 1835)
Scarus auritus (Valenciennes, 1840)
Scarus bottae (Valenciennes, 1840)
Scarus caeruleo-punctatus (Rüppell, 1835)
Scarus coeruleopunctatus (Rüppell, 1835)
Scarus naevius (Valenciennes, 1840)
Scarus rubronotatus (Ehrenberg, 1829)
Scarus rubronotatus (Valenciennes, 1840)
Scarus vaigiensis (Quoy & Gaimard, 1824)
---------------------------
Description
Dorsal spines (total): 9; Dorsal soft rays (total): 10; Anal spines: 3; Anal soft rays: 9; Pectoral fin rays 13; Vertebrae: 25; Median predorsal scales: 3-4 (usually: 4); Scale row on cheek: 1, below eye: 1; Body relatively elongate, its depth: 2.9-3.8 in SL; Teeth fused to form narrow dental plates, edge of lower plate overlapping upper plate when mouth closed; Lips entirely covering dental plates of both jaws; Upper dental plate of males: 1-5 canines on each side. Dorsal spines flexible, the interspinous membranes distinctly incised; Gill membranes broadly joined to isthmus, not forming free fold; Caudal fin moderately rounded. Max. length: 38.0 cm TL. Max. published weight: 657.00 g. Depth range: 1 - 50 m, usually: 1 - 15 m.
Présent dans les lagons, les mangroves ou les zones côtières abritées. Il fréquente les herbiers de phanérogames marines et les fonds rocheux ou coralliens riches en algues, où il trouve sa nourriture. C’est un herbivore essentiellement diurne, qui se nourrit de phanérogames (plantes à fleurs) marines ou de macro-algues en l’absence d’herbes, et parfois d’algues dérivantes (Sargassum spp.). Il consomme aussi bien les feuilles que les rhizomes des plantes. C’est la seule espèce actuellement connue de poisson-perroquet à être gonochorique (les sexes sont séparés et définitifs dès la naissance). La taille requise pour la maturité sexuelle se situe autour de 7 cm pour les deux sexes. La cour et l’émission des gamètes ont lieu au-dessus d’un herbier à très faible profondeur. La ponte peut avoir lieu par paires ou en groupes. Les œufs sont pélagiques. Les herbiers sont probablement le lieu privilégié d’installation des larves. Les juvéniles forment des groupes comprenant des juvéniles d’autres espèces et se cachent dans les herbiers au plus près du substrat. Tous sont à couleur dominante verte ou beige à brun clair : ils sont adaptés aux teintes de l’herbier, où ils sont difficiles à repérer pour des prédateurs. Le groupe fuit de façon synchrone devant un danger puis s’arrête un peu plus loin, certains individus prenant une attitude oblique de façon à être le moins visibles possible parmi les tiges des phanérogames. Ils semblent se nourrir de plantes épiphytes dans l’herbier.
Synonymes
Calliodon chlorolepis (Richardson, 1844)
Calliodon chlorolepsis (Richardson, 1844)
Leptoscarus coeruleopunctatus (Rüppell, 1835)
Leptoscarus vaigeinsis (Quoy & Gaimard, 1824)
Leptoscarus vaigensis (Quoy & Gaimard, 1824)
Leptoscarus vaigienis (Quoy & Gaimard, 1824)
Scarichthys auritus (Valenciennes, 1840)
Scarichthys caeruleopunctatus (Rüppell, 1835)
Scarus auritus (Valenciennes, 1840)
Scarus bottae (Valenciennes, 1840)
Scarus caeruleo-punctatus (Rüppell, 1835)
Scarus coeruleopunctatus (Rüppell, 1835)
Scarus naevius (Valenciennes, 1840)
Scarus rubronotatus (Ehrenberg, 1829)
Scarus rubronotatus (Valenciennes, 1840)
Scarus vaigiensis (Quoy & Gaimard, 1824)
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Description
Dorsal spines (total): 9; Dorsal soft rays (total): 10; Anal spines: 3; Anal soft rays: 9; Pectoral fin rays 13; Vertebrae: 25; Median predorsal scales: 3-4 (usually: 4); Scale row on cheek: 1, below eye: 1; Body relatively elongate, its depth: 2.9-3.8 in SL; Teeth fused to form narrow dental plates, edge of lower plate overlapping upper plate when mouth closed; Lips entirely covering dental plates of both jaws; Upper dental plate of males: 1-5 canines on each side. Dorsal spines flexible, the interspinous membranes distinctly incised; Gill membranes broadly joined to isthmus, not forming free fold; Caudal fin moderately rounded. Max. length: 38.0 cm TL. Max. published weight: 657.00 g. Depth range: 1 - 50 m, usually: 1 - 15 m.
Color
Juveniles: 3-4 cm long, olive green with a whitish belly, a broad dark line runs from the snout through the eye to the upper part of the caudal peduncle, a thinner dark line runs from the cheeks to the base of the pectorals and ends near the end of the anal fin. One can also find a less dark and diffuse line from the forehead to the end of the dorsal fin. The iris is silver with a golden ring around the pupil. Juveniles over 4 cm are olive green to gray, the body is speckled with small light spots, the ventral side is clear with 4 horizontal lighter lines, the dorsal and anal fins are translucent with brown rays, the caudal fin is translucent with greenish rays, the iris is orange. Discrete mottles appear, which will become more and more clear during the growth, the adult livery being acquired around 7.0 cm.
Females: color more regularly green, the white horizontal line which marks the body of the male is with her generally indistinct, and the sides are marked by one to three series of large white spots rather spaced and organized horizontally in the prolongation of the others. The two most distinct are located for the first one on a line starting from the top of the operculum, and for the second, of the pectoral fins. The ventral face is most often bluish, and carries three lines of very close white spots, also more or less distinct. Some scales can be speckled with white spots, others almost entirely brown. There is a more or less dark brown mark at the base of the pectorals. The pelvic and anal fins have brown spots.
Males: variable color, being able to go from the gray to the green while passing by a more or less pronounced light brown or orange beige. The ventral face is generally lighter, most often in the same shade as the dorsal face but it can also be of the same tone as the rest of the body, or almost white, or yellowing. The body is entirely covered, from the snout to the caudal fin included, of small more or less apparent blue spots sometimes forming some dashes. The shape, the size and the number of these spots vary according to the individuals. The flanks are crossed in their middle by a white horizontal band formed by an aggregation of approximately triangular patterns. This band starts behind the operculum and goes to the caudal peduncle. This band is more or less broad or regular, and it can be little distinct.
Colors common to both sexes: two white stripes in the form of an inverted saddle under the chin, the first of which can reach the eye and the second the middle of the cheek. The edge of the scales is lighter than their center, and their color can vary from light to dark in the same tone, independently of each other, giving then a blurred or mottled aspect to the livery.
Etymology
Leptoscarus: from Greek, lepto-, = thin, slight, fine + from Latin, scarus = scare, or sea fish (scare is the generic vernacular name of parrot fish). The Latin word is derived from the Greek, skaros, in the same sense. The Greeks knew this family through Sparisoma cretense (Linnaeus, 1758), present on their coasts, Aristotle describes the viscera.
vaigiensis: from, Waigiou or Waigeo, the biggest Raja Ampat island, in Indonesia.
Original Description: Scarus vaigiensis Quoy & Gaimard, 1824 - Type locality: Waigeo (Pulau Waigeo, Papua Barat, Indonesia, western Pacific).
Distribution
Red Sea; Indo-West Pacific: Eastern Cape and KwaZulu-Natal (South Africa), East Africa, Seychelles, Madagascar and Mascarenes (La Réunion, Mauritius, Rodrigues), east to Pitcairn, north to Kagoshima Prefecture (southern Japan) and Ogasawara Islands, south to Rottnest Island (Western Australia), Sydney (New South Wales, Australia), Lord Howe Island (Australia), New Caledonia, northern New Zealand and Rapa (French Polynesia).
Biology
An uncomom species found in sheltered bays, harbors and lagoons. Inhabits seagrass areas or areas with hard substrates heavy with algal cover. Usually occur in small groups. Feeds on seagrasses and algae. Spawns in shallow water above grassflats on the falling tide. Unlike other parrotfishes, males and females look very similar and do not change sex. Larvae of this species is associated with drifting algae. Marketed fresh. Aquarium fish.
Last update: 8, May 2023
Juveniles: 3-4 cm long, olive green with a whitish belly, a broad dark line runs from the snout through the eye to the upper part of the caudal peduncle, a thinner dark line runs from the cheeks to the base of the pectorals and ends near the end of the anal fin. One can also find a less dark and diffuse line from the forehead to the end of the dorsal fin. The iris is silver with a golden ring around the pupil. Juveniles over 4 cm are olive green to gray, the body is speckled with small light spots, the ventral side is clear with 4 horizontal lighter lines, the dorsal and anal fins are translucent with brown rays, the caudal fin is translucent with greenish rays, the iris is orange. Discrete mottles appear, which will become more and more clear during the growth, the adult livery being acquired around 7.0 cm.
Females: color more regularly green, the white horizontal line which marks the body of the male is with her generally indistinct, and the sides are marked by one to three series of large white spots rather spaced and organized horizontally in the prolongation of the others. The two most distinct are located for the first one on a line starting from the top of the operculum, and for the second, of the pectoral fins. The ventral face is most often bluish, and carries three lines of very close white spots, also more or less distinct. Some scales can be speckled with white spots, others almost entirely brown. There is a more or less dark brown mark at the base of the pectorals. The pelvic and anal fins have brown spots.
Males: variable color, being able to go from the gray to the green while passing by a more or less pronounced light brown or orange beige. The ventral face is generally lighter, most often in the same shade as the dorsal face but it can also be of the same tone as the rest of the body, or almost white, or yellowing. The body is entirely covered, from the snout to the caudal fin included, of small more or less apparent blue spots sometimes forming some dashes. The shape, the size and the number of these spots vary according to the individuals. The flanks are crossed in their middle by a white horizontal band formed by an aggregation of approximately triangular patterns. This band starts behind the operculum and goes to the caudal peduncle. This band is more or less broad or regular, and it can be little distinct.
Colors common to both sexes: two white stripes in the form of an inverted saddle under the chin, the first of which can reach the eye and the second the middle of the cheek. The edge of the scales is lighter than their center, and their color can vary from light to dark in the same tone, independently of each other, giving then a blurred or mottled aspect to the livery.
Etymology
Leptoscarus: from Greek, lepto-, = thin, slight, fine + from Latin, scarus = scare, or sea fish (scare is the generic vernacular name of parrot fish). The Latin word is derived from the Greek, skaros, in the same sense. The Greeks knew this family through Sparisoma cretense (Linnaeus, 1758), present on their coasts, Aristotle describes the viscera.
vaigiensis: from, Waigiou or Waigeo, the biggest Raja Ampat island, in Indonesia.
Original Description: Scarus vaigiensis Quoy & Gaimard, 1824 - Type locality: Waigeo (Pulau Waigeo, Papua Barat, Indonesia, western Pacific).
Distribution
Red Sea; Indo-West Pacific: Eastern Cape and KwaZulu-Natal (South Africa), East Africa, Seychelles, Madagascar and Mascarenes (La Réunion, Mauritius, Rodrigues), east to Pitcairn, north to Kagoshima Prefecture (southern Japan) and Ogasawara Islands, south to Rottnest Island (Western Australia), Sydney (New South Wales, Australia), Lord Howe Island (Australia), New Caledonia, northern New Zealand and Rapa (French Polynesia).
Biology
An uncomom species found in sheltered bays, harbors and lagoons. Inhabits seagrass areas or areas with hard substrates heavy with algal cover. Usually occur in small groups. Feeds on seagrasses and algae. Spawns in shallow water above grassflats on the falling tide. Unlike other parrotfishes, males and females look very similar and do not change sex. Larvae of this species is associated with drifting algae. Marketed fresh. Aquarium fish.
Last update: 8, May 2023