COIFFURE DE GUERRE MWEENG PAAC
19ème siècle Nord de la Grande-Terre
Ecorce, tissu, coquillage, tresses de fibres végétales et poils de roussette, plumes.
Ancienne collection de Charles Blin (1850-1929) retraité des chemins de fer, préhistorien amateur, élève de Gabriel de Mortillet, et collectionneur.
Muséum d'Histoire naturelle, La Rochelle, France
Ecorce, tissu, coquillage, tresses de fibres végétales et poils de roussette, plumes.
Ancienne collection de Charles Blin (1850-1929) retraité des chemins de fer, préhistorien amateur, élève de Gabriel de Mortillet, et collectionneur.
Muséum d'Histoire naturelle, La Rochelle, France
Photographie prise lors de la présentation de l'exposition sur l'art Kanak au centre culturel Tjibaou à Nouméa - Nouvelle-Calédonie.
Les coiffes Kanak sont des objets relativement connus, dont le type prépondérant est appelé Tidi. De forme tubulaire, elles sont tressées en bandes de fines fibres végétales peintes en noir superposées pour former de délicats motifs, généralement entourées d'une fronde et ornées d'une aigrette en plumes. Tout dans cette coiffe Mweeng paac est remarquable : Le haut bandeau en fibres végétales rigides, enserré par un tapa et orné d'un coquillage frontal ; l'éventail de plumes fixées sur des nervures de feuilles de cocotier qui ajoute tout son panache à cette coiffe de guerre. Objets de prestige, ces coiffes deviennent sacrées au contact de la tête, partie la plus noble du corps humain.
Les coiffes Kanak sont des objets relativement connus, dont le type prépondérant est appelé Tidi. De forme tubulaire, elles sont tressées en bandes de fines fibres végétales peintes en noir superposées pour former de délicats motifs, généralement entourées d'une fronde et ornées d'une aigrette en plumes. Tout dans cette coiffe Mweeng paac est remarquable : Le haut bandeau en fibres végétales rigides, enserré par un tapa et orné d'un coquillage frontal ; l'éventail de plumes fixées sur des nervures de feuilles de cocotier qui ajoute tout son panache à cette coiffe de guerre. Objets de prestige, ces coiffes deviennent sacrées au contact de la tête, partie la plus noble du corps humain.