DIODON LITUROSUS - (SHAW, 1804)
Actinopterygii (Gigaclass) > Actinopteri (Class) > Teleostei (Subclass) > Tetraodontiformes (Order) > Tetraodontoidei (Suborder) > Diodontidae (Family) > Diodon (Genus)
Diodon tacheté, Poisson porc-épic à taches auréolées, Poisson porc-épic à épines courtes, Black-blotched porcupinefish, Blotched Porcupinefish, Blotched porcupine-fish, Brown-backed porcupinefish, Shortspine porcupinefish, Pesce istrice macchiato scuro, Masken-Igelfisch, Kortstekel-penvis, Kortpigget pindsvinefisk, Hitozura-harisenbon, ヒトヅラハリセンボン,柴氏刺鲀, 柴二齒魨, 气瓜仔,
Description
Rayons mous dorsaux (Total) : 14-16; Rayons mous anaux : 14-16; Rayons nageoires pectorales : 21-25. Poisson de forme oblongue et globulaire. La bouche présente deux dents formant un bec puissant. Les yeux sont gros et proéminents. Il dispose de deux grandes nageoires pectorales situées au premier tiers du corps. En revanche, les nageoires dorsale et anale sont petites et disposées, en regard l'une de l'autre, très en arrière du corps. La nageoire caudale est arrondie. Les nageoires pelviennes sont absentes. Présence de courtes épines implantées à partir du front, entre les yeux et jusqu'au pédoncule caudal. Ces épines sont presque toujours collées au corps, pointées vers l'arrière. Certains adultes benthiques ont de courts tentacules charnus sur le menton ou sur les yeux. Taille maximum : 65.0 cm TL, généralement : 45.0 cm TL. Profondeur : 1 - 90 m, généralement : 15 - 30 m.
Couleur
Les juvéniles pélagiques (<9 cm SL) ont des taches de la taille d'une pupille, particulièrement proéminentes sur le ventre, mais pas de taches sur les nageoires (similaire à Diodon holocanthus). Adultes benthiques brunâtre olivâtre, avec de grandes taches sombres pâles sur le dos et les côtés; Petites taches noires sur les côtés associées à la base des épines; Bande régulière sombre; Nageoires non tachetées mais membranes souvent sombres.
Étymologie
Diodon : du Grec, di = deux + du Grec, odonto = dents. Nom donné pour les deux dents qui ornent sa gueule, l'une en haut, et l'autre en bas.
liturosus : du Latin, litura = raturé, ce qui est rayé ou qui porte des rayures. Nom donné en référence à une « grande tache noire en forme de croissant » sur la nuque, une « tache quelque peu ovale » au-dessus de la nageoire pectorale, et deux taches transversales, la première sous l'œil et la seconde entre l'œil et la nageoire pectorale.
Description originale : Diodon liturosus Shaw, 1804 - Localité type : mers des Indes.
Distribution
Mer Rouge; Pacifique Indo-Ouest : Cap-Oriental et KwaZulu-Natal (Afrique du Sud), Est de l'Afrique, Socotra (Yémen), Seychelles, Comores, Madagascar et Ouest des Mascareignes (la Réunion, île Maurice), à l'Est, îles de la Société (Polynésie française), au Nord, centre du Japon, au Sud, Nouvelle-Calédonie.
Biologie
Présent sur les bords et les pente des récifs coralliens ainsi qu'à l'intérieur des baies. Cette espèce nocturne est généralement abritée dans les grottes et sous les rebords du récif mais s’aventure parfois sous les plaques de corail. De nuit il n'est pas rare d'en rencontrer caché dans quelques centimètres d'eau sur les récifs frangeants. C'est un prédateur nocturne qui se nourrit essentiellement d’invertébrés (crustacés, gastéropodes, bivalves). Il dispose de solides dents qui lui servent à broyer des proies à carapace dure. Poisson solitaire mais qui forment des couples durables pendant la période de reproduction. La reproduction se passe en pleine eau, leurs œufs se disperse au gré des courants. On attribue en effet leur large distribution au long stade pélagique des œufs et des larves. Les œufs sont sphériques, ils disposent de grandes quantités de vitellus et dérivent avec le courant. Ils éclosent après environ cinq jours. Les jeunes larves sont planctoniques. Il faut quelques jours pour que le vitellus soit consommé et que le corps soit développé pour ressembler vraiment à un juvénile de poisson. Durant la période pélagique (taille inférieur à 9 cm), les juvéniles présente des points sur le corps comme Diodon holocanthus. Les espèces du genre Diodon accumulent une toxine puissante et potentiellement mortelle, appelée tétrodotoxine, dans tous les organes, à l'exception des muscles. Cette toxine est donc une arme supplémentaire pour décourager d'éventuels prédateurs. La littérature mentionne en sus des risques d’empoisonnement à la consommation humaine, liés à la présence occasionnelle de ciguatera. Lorsqu'il se sent en danger, le diodon se gonfle d'eau pour effrayer son agresseur et paraître ainsi plus gros et hérissé d'épines pointues. Cette taille augmentée le rend également difficile à ingérer pour une bouche de taille commune. Dans les faits, il se gonfle en accumulant de l’eau dans son corps jusqu'à prendre une forme sphérique.
Espèces ressemblantes
Synonymes
Diodon bleekeri (Günther, 1910)
Diodon literosus (Shaw, 1804)
Diodon lituratus (Shaw, 1804)
Diodon maculatus (Duméril, 1855)
-------------------------------
Description
Dorsal soft rays (total): 14-16; Anal soft rays: 14-16; Pectoral fin rays: 21-25. Dermal spines short, those on forehead much shorter than pectoral fin axil spines, none situated wholly on dorsum of caudal peduncle; Short downward pointing spine below front of eye; Some benthic adults with short fleshy tentacles on chin or over eyes. Spines from snout to dorsal fin base: 16-21. Max. length: 65.0 cm TL, usually: 45.0 cm TL. Depth range: 1 - 90 m, usually: 15 - 30 m.
Color
Pelagic juveniles (<9 cm SL) with pupil-sized spots, particularly prominent on belly, but no spots on fins (similar to Diodon holocanthus). Benthic adults olive brownish, with paleedged large, dark blotches across dorsum and on sides; Small black spots on sides associated with spine bases; Dark regular band; Fins unspotted but membranes often dark.
Etymology
Diodon: from Greek, di = two + from Greek, odous = teeth. Referring to two fused teeth (but separated by a median suture) in jaws.
liturosus: from Latin, litura = blotting out, erasure, correction + from Latin suffix, -osus = misty, foggy, clouded, obscure. Referring to “large, crescent-shaped black spot or patch” on nape, a “somewhat oval patch” above pectoral fin, and two transverse ones, the first beneath the eye and the second between eye and pectoral fin.
Original description: Diodon liturosus Shaw, 1804 - Type locality: Indian Seas.
Distribution
Red Sea; Indo-West Pacific: Eastern Cape and KwaZulu-Natal (South Africa), East Africa, Socotra (Yemen), Seychelles, Comoros, Madagascar and western Mascarenes (La Réunion, Mauritius), east to Society Islands (French Polynesia), north to central Japan, south to New Caledonia.
Biology
Inhabits reef edges and slopes. Hides in caves and ledges during the day and forages at night. Also found below plate-corals during the day and often deep. Juveniles occur in lagoons and estuaries. Solitary. Feeds on crustaceans and mollusks. Not usually marketed. Species of the Diodon genus accumulate a powerful and potentially lethal toxin, called tetrodotoxin, in all organs except muscles. This toxin is therefore an additional weapon to deter potential predators. Reports of ciguatera poisoning. When it feels threatened, the diodon inflates itself with water to frighten off its attacker, appearing larger and bristling with sharp spines. This increased size also makes it difficult for the average mouth to swallow. In fact, it inflates itself by accumulating water in its body until it takes on a spherical shape.
Similar species
Last update: 1, June 2024
Diodon tacheté, Poisson porc-épic à taches auréolées, Poisson porc-épic à épines courtes, Black-blotched porcupinefish, Blotched Porcupinefish, Blotched porcupine-fish, Brown-backed porcupinefish, Shortspine porcupinefish, Pesce istrice macchiato scuro, Masken-Igelfisch, Kortstekel-penvis, Kortpigget pindsvinefisk, Hitozura-harisenbon, ヒトヅラハリセンボン,柴氏刺鲀, 柴二齒魨, 气瓜仔,
Description
Rayons mous dorsaux (Total) : 14-16; Rayons mous anaux : 14-16; Rayons nageoires pectorales : 21-25. Poisson de forme oblongue et globulaire. La bouche présente deux dents formant un bec puissant. Les yeux sont gros et proéminents. Il dispose de deux grandes nageoires pectorales situées au premier tiers du corps. En revanche, les nageoires dorsale et anale sont petites et disposées, en regard l'une de l'autre, très en arrière du corps. La nageoire caudale est arrondie. Les nageoires pelviennes sont absentes. Présence de courtes épines implantées à partir du front, entre les yeux et jusqu'au pédoncule caudal. Ces épines sont presque toujours collées au corps, pointées vers l'arrière. Certains adultes benthiques ont de courts tentacules charnus sur le menton ou sur les yeux. Taille maximum : 65.0 cm TL, généralement : 45.0 cm TL. Profondeur : 1 - 90 m, généralement : 15 - 30 m.
Couleur
Les juvéniles pélagiques (<9 cm SL) ont des taches de la taille d'une pupille, particulièrement proéminentes sur le ventre, mais pas de taches sur les nageoires (similaire à Diodon holocanthus). Adultes benthiques brunâtre olivâtre, avec de grandes taches sombres pâles sur le dos et les côtés; Petites taches noires sur les côtés associées à la base des épines; Bande régulière sombre; Nageoires non tachetées mais membranes souvent sombres.
Étymologie
Diodon : du Grec, di = deux + du Grec, odonto = dents. Nom donné pour les deux dents qui ornent sa gueule, l'une en haut, et l'autre en bas.
liturosus : du Latin, litura = raturé, ce qui est rayé ou qui porte des rayures. Nom donné en référence à une « grande tache noire en forme de croissant » sur la nuque, une « tache quelque peu ovale » au-dessus de la nageoire pectorale, et deux taches transversales, la première sous l'œil et la seconde entre l'œil et la nageoire pectorale.
Description originale : Diodon liturosus Shaw, 1804 - Localité type : mers des Indes.
Distribution
Mer Rouge; Pacifique Indo-Ouest : Cap-Oriental et KwaZulu-Natal (Afrique du Sud), Est de l'Afrique, Socotra (Yémen), Seychelles, Comores, Madagascar et Ouest des Mascareignes (la Réunion, île Maurice), à l'Est, îles de la Société (Polynésie française), au Nord, centre du Japon, au Sud, Nouvelle-Calédonie.
Biologie
Présent sur les bords et les pente des récifs coralliens ainsi qu'à l'intérieur des baies. Cette espèce nocturne est généralement abritée dans les grottes et sous les rebords du récif mais s’aventure parfois sous les plaques de corail. De nuit il n'est pas rare d'en rencontrer caché dans quelques centimètres d'eau sur les récifs frangeants. C'est un prédateur nocturne qui se nourrit essentiellement d’invertébrés (crustacés, gastéropodes, bivalves). Il dispose de solides dents qui lui servent à broyer des proies à carapace dure. Poisson solitaire mais qui forment des couples durables pendant la période de reproduction. La reproduction se passe en pleine eau, leurs œufs se disperse au gré des courants. On attribue en effet leur large distribution au long stade pélagique des œufs et des larves. Les œufs sont sphériques, ils disposent de grandes quantités de vitellus et dérivent avec le courant. Ils éclosent après environ cinq jours. Les jeunes larves sont planctoniques. Il faut quelques jours pour que le vitellus soit consommé et que le corps soit développé pour ressembler vraiment à un juvénile de poisson. Durant la période pélagique (taille inférieur à 9 cm), les juvéniles présente des points sur le corps comme Diodon holocanthus. Les espèces du genre Diodon accumulent une toxine puissante et potentiellement mortelle, appelée tétrodotoxine, dans tous les organes, à l'exception des muscles. Cette toxine est donc une arme supplémentaire pour décourager d'éventuels prédateurs. La littérature mentionne en sus des risques d’empoisonnement à la consommation humaine, liés à la présence occasionnelle de ciguatera. Lorsqu'il se sent en danger, le diodon se gonfle d'eau pour effrayer son agresseur et paraître ainsi plus gros et hérissé d'épines pointues. Cette taille augmentée le rend également difficile à ingérer pour une bouche de taille commune. Dans les faits, il se gonfle en accumulant de l’eau dans son corps jusqu'à prendre une forme sphérique.
Espèces ressemblantes
- Chilomycterus reticulatus (Linnaeus, 1758) - Présent en Nouvelle-Calédonie - Lien vers l'espèce (ici) - De plus petite taille, il présente de très nombreuses petites taches sombres de tailles différentes sur tout le corps bien qu’elles soient nettement moins nombreuses sur le ventre. Les nageoires portent aussi des points noirs, mais ils sont plus petits. Ses épines sont peu nombreuses.
- Cyclichthys orbicularis (Bloch, 1785) - Présent en Nouvelle-Calédonie - De forme plus arrondie et de plus petite taille que Diodon liturosus, il présente une robe beige avec de petites taches sombres cerclées de blanc réparties sur l’ensemble du corps. Ses épines sont proéminentes et contrairement à Diodon liturosus, elles ne sont pas plaquées contre le corps et sont en forme de griffes. Son œil aux reflets vert irisé est remarquable.
- Cyclichthys spilostylus (Leis & Randall, 1982) - Présent en Nouvelle-Calédonie - Il est de plus petite taille que Diodon liturosus. Il présente de courtes épines blanches à jaunes en forme de griffe au centre d’une tache blanche. Ces taches deviennent sombres sous le ventre, les épines restant claires.
- Diodon holocanthus (Linnaeus, 1758) - Présent en Nouvelle-Calédonie - Lien vers l'espèce (ici) - Il présente des taches brunes souvent ourlées de noir sur l’ensemble du corps, dont l'une barre son œil. Contrairement à Diodon liturosus, les taches sont plus ou moins diffuses et ne présentent donc pas de liseré blanc périphérique. Ses épines sont aussi plus longues. On observe de nombreux points noirs disséminés sur l’ensemble du corps.
- Diodon hystrix (Linnaeus, 1758) - Présent en Nouvelle-Calédonie - Lien vers l'espèce (ici) - Il ne présente pas de taches auréolées de blanc sur le corps, mais de très nombreux petits points noirs. Ce grand poisson porc-épic possède des épines plus longues que Diodon liturosus.
- Lophodiodon calori (Bianconi, 1854) - Présent en Nouvelle-Calédonie - De plus petite taille que Diodon liturosus, il est de couleur crème tirant vers le beige et présente sur les flancs trois grandes taches noires sans liseré blanc. Une autre tache noire commence sur le globe oculaire, se poursuit sous l’œil et rejoint la gorge. Les épines du dos, courtes, sont réparties par groupes de couleur, blanches ou noires. Son ventre est blanc.
Synonymes
Diodon bleekeri (Günther, 1910)
Diodon literosus (Shaw, 1804)
Diodon lituratus (Shaw, 1804)
Diodon maculatus (Duméril, 1855)
-------------------------------
Description
Dorsal soft rays (total): 14-16; Anal soft rays: 14-16; Pectoral fin rays: 21-25. Dermal spines short, those on forehead much shorter than pectoral fin axil spines, none situated wholly on dorsum of caudal peduncle; Short downward pointing spine below front of eye; Some benthic adults with short fleshy tentacles on chin or over eyes. Spines from snout to dorsal fin base: 16-21. Max. length: 65.0 cm TL, usually: 45.0 cm TL. Depth range: 1 - 90 m, usually: 15 - 30 m.
Color
Pelagic juveniles (<9 cm SL) with pupil-sized spots, particularly prominent on belly, but no spots on fins (similar to Diodon holocanthus). Benthic adults olive brownish, with paleedged large, dark blotches across dorsum and on sides; Small black spots on sides associated with spine bases; Dark regular band; Fins unspotted but membranes often dark.
Etymology
Diodon: from Greek, di = two + from Greek, odous = teeth. Referring to two fused teeth (but separated by a median suture) in jaws.
liturosus: from Latin, litura = blotting out, erasure, correction + from Latin suffix, -osus = misty, foggy, clouded, obscure. Referring to “large, crescent-shaped black spot or patch” on nape, a “somewhat oval patch” above pectoral fin, and two transverse ones, the first beneath the eye and the second between eye and pectoral fin.
Original description: Diodon liturosus Shaw, 1804 - Type locality: Indian Seas.
Distribution
Red Sea; Indo-West Pacific: Eastern Cape and KwaZulu-Natal (South Africa), East Africa, Socotra (Yemen), Seychelles, Comoros, Madagascar and western Mascarenes (La Réunion, Mauritius), east to Society Islands (French Polynesia), north to central Japan, south to New Caledonia.
Biology
Inhabits reef edges and slopes. Hides in caves and ledges during the day and forages at night. Also found below plate-corals during the day and often deep. Juveniles occur in lagoons and estuaries. Solitary. Feeds on crustaceans and mollusks. Not usually marketed. Species of the Diodon genus accumulate a powerful and potentially lethal toxin, called tetrodotoxin, in all organs except muscles. This toxin is therefore an additional weapon to deter potential predators. Reports of ciguatera poisoning. When it feels threatened, the diodon inflates itself with water to frighten off its attacker, appearing larger and bristling with sharp spines. This increased size also makes it difficult for the average mouth to swallow. In fact, it inflates itself by accumulating water in its body until it takes on a spherical shape.
Similar species
- Chilomycterus reticulatus (Linnaeus, 1758) - Reported from New Caledonia - Link to the species (here). Smaller in size, it has numerous small dark spots of varying sizes all over its body, although there are far fewer on its belly. The fins also have black spots, but they are smaller. Its spines are few in number.
- Cyclichthys orbicularis (Bloch, 1785) - Reported from New Caledonia. More rounded in shape and smaller in size than Diodon liturosus, it has a beige coat with small dark spots circled in white all over its body. Its spines are prominent and, unlike Diodon liturosus, are not pressed against the body, but are claw-like. Its iridescent green eye is remarkable.
- Cyclichthys spilostylus (Leis & Randall, 1982) - Reported from New Caledonia. It is smaller than Diodon liturosus. It has short white to yellow claw-like spines in the center of a white spot. These become darker under the belly, while the spines remain light.
- Diodon holocanthus (Linnaeus, 1758) - Reported from New Caledonia - Link to the species (here). It has brown spots, often hemmed in black, all over its body, one of which crosses its eye. Unlike Diodon liturosus, the spots are more or less diffuse, so there is no peripheral white border. Its spines are also longer. Numerous black spots are scattered all over the body.
- Diodon hystrix (Linnaeus, 1758) - Reported from New Caledonia - Link to the species (here). It has no white haloed spots on its body, but numerous small black dots. This large porcupine fish has longer spines than Diodon liturosus.
- Lophodiodon calori (Bianconi, 1854) - Reported from New Caledonia. Smaller than Diodon liturosus, it is creamy to beige in color, with three large black spots on the flanks with no white border. Another black spot begins over the eyeball, continues under the eye and joins the throat. The short spines on the back are divided into color groups, white or black. Its belly is white.
Last update: 1, June 2024